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17 sept. 2015

Celui qui serait maître de l’éducation, dans un pays pendant cinquante ans, serait maître de l’avenir de ce pays. (Leibnitz)




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Celui qui serait maître de l’éducation, dans un pays pendant cinquante ans, serait maître de l’avenir de ce pays. (Leibnitz) 

Une oeuvre magistrale "  à consulter impérativement. 

 

 

 

 

 

La stabilité du régime maçonnique assurée par l’éducation.
«Celui qui serait maître de l’éducation, dans un pays pendant cinquante ans, serait maître de l’avenir de ce pays». (Leibnitz)

republique-FM

 

 

16 sept. 2015

Abane Ramdane avait ordonné la liquidation des berbéristes.

 Algérie solidaire : ((Lien))

«Comme chaque année, la commémoration de la journée du 20 août, qui coïncide avec le double anniversaire de l’insurrection du 20 août 1955 et de l’organisation du congrès de la Soummam le 20 août 1956, est une occasion pour le pouvoir de continuer dans sa politique d’amnésie et de récupération de l’histoire de la Révolution algérienne à des fins politiciennes. C’est ainsi que les luttes politiques et idéologiques qui ont traversé le FLN-ALN sont soit ignorées soit dénaturées, ce qui fait bien l’affaire des révisionnistes qui voudraient que les jeunes générations se détournent de leur histoire. Mais malheureusement, l’amnésie et la déformation de l’histoire ne sont pas l’œuvre exclusive du pouvoir. Des partis d’opposition et notamment les partis berbéristes ont pris l’habitude de faire une célébration sélective de la journée du 20 août en concentrant leur attention sur un seul évènement, le congrès de la Soummam, auquel ils font subir une lecture manichéenne, régionaliste et chauvine, en contradiction totale avec les faits historiques.
En effet, les partis berbéristes, dans leur diversité politique, chantent tous la même chanson : « Le congrès de la Soummam fut un tournant historique en ce qu’il a consacré le choix démocratique de la primauté du politique sur le militaire et de l’intérieur sur l’extérieur » oubliant que ces slogans cachaient en fait des luttes de pouvoir entre les dirigeants de la Révolution algérienne. Pire, ces partis berbéristes n’hésitent pas à utiliser l’origine régionale de la plupart des dirigeants présents dans ce congrès pour faire passer la thèse fausse suivant laquelle Abane Ramdane et Krim Belkacem étaient en quelque sorte les pionniers de l’idéologie berbériste qu’ils défendent.
Cette thèse véhiculée dans les milieux berbéristes est tellement fausse que même un vieux militant berbériste comme Rachid Ali-Yahia* se croit obligé de la démentir. Dans le cadre d’une conférence-débat organisée à Paris le samedi 25 octobre 2008, Rachid Ali-Yahia a soutenu que « L’arabo-islamisme était tellement enraciné au sein du mouvement national algérien que non seulement leur demande n’a pas été entendue mais certains avaient payé de leurs vies leur attachement à Tamazight. Même des « démocrates » kabyles comme Abane Ramdane les auraient qualifiés de contre-révolutionnaires qu’il fallait liquider ». Rachid Ali-Yahia faisait référence à un document capital du Congrès de la Soummam que les berbéristes gardent caché pour que les jeunes générations ne découvrent pas leurs mensonges et leurs manigances.
Ce document est un annexe à la plate-forme adaptée par le Congrès. Voici ce que dit le document adressé aux responsables de la fédération du FLN  de France : « Les principaux responsables de l’Oranie, Algérois et Constantinois, réunis quelque part en Algérie, après avoir pris connaissance de votre rapport général non daté, vous renouvellent leur confiance et vous assurent d’un appui total dans votre travail de clarification, de consolidation du FLN en France et de liquidation des Berbéristes, Messalistes, et autres contre-révolutionnaires qui continuent leur travail de sape et de division au sein de l’émigration algérienne » Le document est signé par sept dirigeants du FLN : Ben M’hidi, Abbane, Krim, Ouamrane, Zirout, Bentobal, Si Chérif.  Ce document a été publié en annexe par feu  Benyoucef BenKheda dans ses Mémoires. Rappelons que parmi les sept signataires de ce document clair et net, quatre étaient originaires de la grande Kabylie : Abane Ramdane, Krim Belkacem, Amar Ouamrane, Ali Mellah dit Si Chérif.
*Acteur de la crise berbériste au sein du PPA-MTLD de 1949, Rachid Ali-Yahia est un des plus vieux représentants historique du courant berbériste en Algérie. Après 1962, Rachid Ali-Yahia a vécu en exil en France. Le 16 juin 1976, il crée le Front Uni pour une Algérie algérienne (FUAA). Dans la continuité du FUAA, il fonde en 2004 le Rassemblement pour une Algérie Algérienne Fédérale (RAAF)»

15 sept. 2015

Grave et Amer Constat: le Berbérisme sectaire, vestige du colonialisme, enfante une 5em colonne ennemie de l'Islam et des Musulmans, sous couvert de revendication linguistique et d'autonomie !



50 ANS de gabegie et de négligence signe LA FAILLITE DU SYSTÈME ÉDUCATIF et CULTUREL, ILLUSTRÉE PAR CE CONSTAT : DES ALGÉRIENS LIVRÉS PIEDS ET POINGS LIÉS À LA MANIPULATION D'ORGANISMES ÉTRANGERS EN PARTICULIER LES ÉVANGÉLISTES US, SONT DEVENUS DES POURFENDEURS ET ENNEMI DE L'ISLAM ET SONT INTIMEMENT LIÉ AU CHRISTIANISME SIONISTE ET.... SIONISME TOUT COURT ! Constat amer celui de noter que des citoyens algériens, vomissent leur islamophobie sur L'INTERNET, LES RÉSEAUX SOCIAUX
(facebook !!). Offensifs et arrogants ils ont adopté la technique juive de l'agresseur tourné éternelle victime. Leurs jérémiades accusent l'État algérien de ségrégation, de discrimination, de racisme, d'oppression, de dénie de leur culture et langue. Créé de toute pièce ce racisme qu'il qualifie d'officiel n'a jamais existé en Algérie, ni aujourd'hui ni cela depuis l'islamisation du Maghreb, 15 siècles durant. Il n'est apparu qu'avec l'avènement du mouvement berbériste. C'est donc eux par leur discours public et dans leur manifeste fondés sur ce mythe, qu'ils espèrent amplifier l'animosité entre communautés linguistiques et internationaliser leurs revendications. Découvrons
Surréaliste, mais pourtant vrai ! Le comble dans cette affaire est que les protagonistes de cet incroyable assaut contre l'Islam sont majoritairement algériens résidents en Algérie, étudiants, professeurs d'université. Cette 5em colonne est un dilemme pour l'Algérie au même titre que l'islamisme assassin financé et contrôlé par le wahhabisme international.
leur malhonnêteté : ils n'ont aucune appréhension à arborer le drapeau français pour signaler leur abandon de la religion musulmane et gagner la sympathie de l'Église et ses adeptes. Dire que des générations de LEURS proches ONT défendu LEUR appartenance à l'Islam ET sont morts des mains du colonisateur, de ce fait leur trahison est double !

Un autre canular de l'Histoire officielle algéro-française ! Boukharrouba a tacitement autorisé Israél à acquérir la Bombe Atomique ! Pour le remercier les médias de la planète (sionistes) ont fait de lui un "grand révolutionnaire" !

Dans un document inédit(téléchargeable au Lien
 
Page1:« Dans les années 50, le destin de l’Etat hébreu était l’une des priorités du pouvoir français. Une politique d’aide militaire, secrètement élaborée au ministère de la Défense, aboutit à un accord nucléaire jamais avoué […] Haut fonctionnaire et personnage très influent de la politique française de défense de l’après 1945, Abel Thomas est l’homme qui a livré le programme nucléaire français à Israël. Dans les années cinquante, il était le chef de cabinet du ministre de la Défense, Maurice Bourgès-Maunoury […] De nombreux politiques et militaires français, socialistes pour la plupart, entretenaient alors avec Israël une véritable passion romantique, et Abel Thomas joua le rôle le plus décisif dans la participation de la France à l’option nucléaire de David Ben Gourion. “C’est l’oeuvre de ma vie. Pour moi, le destin d’Israël fut vital dès sa création.” »
«Le même article explique que le ministère de la Défense, Abel Thomas étant en première ligne, commença par livrer secrètement, à la fin de 1955, neuf Mirage… qui furent effacés des effectifs officiels, sans même en informer le ministère des Affaires étrangères dirigé par Christian Pinault, considéré, ainsi que la plupart des diplomates, comme « pro-arabe». 
«En 1956, Thomas joua un rôle majeur dans l’opération de Suez, après la nationalisation du canal par
Nasser, étant le contact privilégié de Shimon Peres, alors ministre israélien de la Défense. Mieux, Peres «Le Yediot Aharonot de Tel Aviv publiait fin septembre (1) un article révélant un accord nucléaire jamais révélé entre la France et Israël, ou comment la France a livré à l’Etat hébreu l’arme nucléaire. A la tête de cette fantastique trahison étatique, un Français, Abel Thomas, aujourd’hui âgé de 80 ans.»
Page 2:
«.....il disposera même d’un bureau à Matignon, à côté de celui du Premier ministre! Puis, Abel Thomas, François Perrin, le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, et Shimon Peres firent fléchir le Premier ministre Guy Mollet sur la question du nucléaire. Dès octobre 1957, Israël et la France signaient un accord diplomatique  avec des clauses secrètes sur le nucléaire. La France s’engageait à fournir une pile atomique qui devait être installée à Dimona, dans le désert du Néguev, l’uranium enrichi (mais Thomas a refusé de le confirmer) et le matériel nécessaire à la fission du plutonium.»
«Bref, on parlait de nucléaire civil et on pensait nucléaire militaire. Comme devait le déclarer le journaliste d’investigation Pierre Péan, auteur de Les Deux Bombes (Fayard, 1982) : « Le plus étonnant est que les Français aient aussi rapidement livré un programme nucléaire à peine sorti des fonts baptismaux. » Il y eu en fait, en sous-main, comme le révèle Dominique Lorentz, dans Affaires atomiques (Les Arènes, 2001), aval secret des services américains : « C’est la France naturellement qui fut choisie pour aider Israël afin de ne pas mécontenter le Congrès. »
«Ce, d’autant qu’en 1956 la France ne détenait même pas encore un savoir-faire qu’elle n’a acquis en 1960 et que la France ne disposait pas encore de la bombe… qui intéressait Israël. Pour Lorentz, il y aurait eu en fait complémentarité entre les deux pays, la France apportant sa puissance industrielle et Israël les procédés américains. Ce qui explique que ce sont des Israéliens qui dirigeront le démarrage de la centrale de Marcouleet des physiciens israéliens seront présents, le 13 février 1960, à Reggane (Sahara), pour l’explosion de la première bombe A. Qui connaît pourtant Abel Thomas? Pratiquement personne et son nom n’apparaît même qu’épisodiquement dans les deux ouvrages précités, les seuls pratiquement sur la question. Né à Fontenay-leComte (Vendée) le 18 juillet 1920, il est le fils d’un officier portant le même prénom et de France Chauveau. Passé par le lycée de Beauvais et l’Ecole polytechnique, cet ingénieur général du génie civil maritime, il participera à la Résistance (son frère mourra en déportation à Dora et sa mère sera décorée de la Croix de guerre par le général Koenig, (fervent sioniste) et combattra, comme officier de chars, dans la division Leclerc (1942-1944). Il sera décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre.»
 Complément, ajouté le 07 Avril 2010: Extrait de "jeuneafrique.com/Article/LIN24127histoenneil0/Histoire-secrete-de-la-bombe-israelienne.html" :


«Cependant, en France, la IVe République s'efface devant la Ve. Cela ne va pas sans causer quelque inquiétude parmi les dirigeants israéliens. On note toutefois que l'ancien gouverneur général de l'Algérie, Jacques Soustelle, qui compte parmi les amis affichés d'Israël, comme de nombreux gaullistes, est ministre de l'Information dans le gouvernement de Gaulle de 1958, et ministre chargé du Sahara et des Affaires atomiques - cela ne peut pas mieux tomber… - dans le gouvernement Debré en 1959. En face, un personnage étonnant va devenir l'antenne à Paris de Pérès, qui est promu, en 1960, ministre adjoint de la Défense. Ce nouveau venu, Shalhevet Freier, a le statut d'attaché scientifique à l'ambassade d'Israël. C'est un savant et un maître espion, humaniste et militant antinucléaire aux côtés d'Albert Einstein et de Bertrand Russel en même temps que décidé à aider son pays à acquérir des armes nucléaires(Notez le double langage militant antinucléaire, pour les Goyim-naifs et sioniste pour la cause talmude)
Bref, la coopération militaire entre Paris et Tel-Aviv, nouée autour de la guerre de Suez, va perdre de l'intensité, car de Gaulle juge inadmissible l'étroitesse des rapports entre états-majors, mais conserver son efficacité. Ce qui freine quelque peu la mise au point de l'armement nucléaire israélien est plutôt, directement et indirectement, son coût. Parce que les fonds secrets à la dispo­sition du Premier ministre représentent des sommes importantes, mais pas illimitées, et parce que les cadres supérieurs de l'armée, à l'exception notable du général Ezer Weizman, commandant de l'armée de l'air, ont tendance à trouver utopique l'idée d'une arme atomique, et à juger prioritaire que l'on porte remède aux graves difficultés d'approvisionnement des troupes en vivres et en munitions. »
«Comment Israël, en dépit de toute cette activité, de tous les contacts entre diplomates et chercheurs israéliens et français, entre politiciens israéliens et membres de premier plan de la diaspora juive, en dépit de l'intérêt croissant des services de renseignements des puissances, singulièrement des États-Unis, au Proche-Orient, a-t-il pu garder le secret sur son projet nucléaire ? L'explication tient surtout en ce qu'il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Dès le mois d'avril 1959, a découvert Karpin, l'ambassadeur du Royaume-Uni à Tel-Aviv avait obtenu des extraits d'un discours de Pérès devant des hauts fonctionnaires, évoquant « le développement d'armements secrets ». Il avait transmis l'information à l'attaché naval américain. La CIA avait vainement essayé d'obtenir une confirmation, et l'affaire en était restée là. Au mois de juillet suivant, le département d'État et l'AEC (Commission de l'énergie atomi­que) avaient appris que la Norvège avait signé un contrat de fourniture d'eau lourde à Israël, alors que les États-Unis, d'abord sollicités, avaient refusé, mais l'information avait été classée sans suite. 



Le 13 février 1960, le premier essai nucléaire français, à Reggane au Sahara, est tout sauf secret : « Hourra pour la France ! » télégraphie de Gaulle. On imagine mal que la présence de deux scientifiques israéliens soit passée inaperçue ..........

....des « grandes oreilles » de Washington.»  
.....sous le long nez de De Gaulle, et les .........yeux clos de Boukharrouba  ! 

Algérie et média indépendants. Sape sociale en boucle, partout et tout le temps.



L'INFO EST UNE ARME À DOUBLE TRANCHANTS POSÉE EN CE MOMENT SUR VOTRE GORGE !

RÉVEILLEZ-VOUS AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD !

LES MEDIA ALGÉRIENS SE SONT DÉFINITIVEMENT INVESTIS DANS LA DÉSINFORMATION ! ILS SONT UN DANGER POUR LA NATION !

AHMED OUYAHYA DANS UNE LONGUE CONFÉRENCE DE PRESSE, (LIEN) LE 12 SEPTEMBRE APPORTE DES ÉCLAIRCISSEMENTS SUR DE NOMBREUSES QUESTIONS CRITIQUES, ÉCONOMIQUES, MILITAIRES, FINANCIÈRES, POLITIQUES, MAIS RENCONTRE UNE OMERTA QUASI GÉNÉRALE ! RIEN N'EST DIT DE SES DÉCLARATIONS,POURTANT CAPITALES, LES MEDIA PRÉFÈRENT DIFFUSER LES RUMEURS ET LES DOUTES, A SAVOIR L'INTOX AU PÉRIL DE LA STABILITÉ DU PAYS ET DE LA SÉRÉNITÉ DE L'OPINION !

LEUR PORTE PAROLE, AGENT ET CHEVAL DE TROIE DES BANQUIERS TALMUDES (FMI/BM), AHMED BENBITOUR, EST APPELÉ À LA RESCOUSSE POUR APPUYER LA CAMPAGNE D'INTOX ! LE MÊME DISCOURS UTOPIQUE VERBEUX ! (LIEN)





La sape sociale en action ! Le fer de lance de la propagande : les "quotidiens indépendants" (presse et internet), à leur tête, EL-WATAN !

Sans cesse, inlassablement, il présage le déluge, le chaos, la catastrophe généralisée, il distille son poison du désespoir, de la peur, de la démobilisation !

LIEN

- Benbitour fait sa rentrée politique : «La chute du régime est inévitable»

-Ahmed Ouyahia : UNE PHRASE HORS CONTEXTE EST EXTRAITE ARBITRAIREMENT DE SON EXPOSÉ «La mort, si on ne réduit pas les importations»