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17 août 2013

Algérie : La Face Cachée Et Occulte De L'Histoire Contemporaine .(4em Partie)

Boukharouba, traître à la nation et éradicateur des moudjahidines et des grandes figures de la révolution, a renié le sermon solennel des martyrs et tous les engagements contenus dans les déclarations du congrès de la Soummam. La décision du "Conseil national de la révolution algérienne"(CNRA) représentant tous les vrais responsables, fut rejetée par Ben Bella parce que qu'elle stipulait la "primauté du politique sur le militaire et celle de l'intérieur sur l'extérieur" :
«La délégation extérieure installée au Caire et dirigée par Ahmed Ben Bella remettra en cause certaines décisions d'ordre politique telles la primauté du politique sur le militaire et celle de l’intérieur sur l’extérieur. La stratégie adoptée par le congrès de la Soummam dans le respect de la déclaration du 1er novembre 1954 s'oppose à toute forme de tutelle extérieure notamment la mainmise du nassérisme sur la révolution algérienne. L'influence égyptienne sur la révolution algérienne sera effective dès le CNRA du Caire d’août 1957 et l'assassinat au Maroc d'Abane Ramdane en décembre de la même année. La direction de la révolution algérienne connaîtra des conflits (entre pro-nassériens et indépendantistes) et des purges (assassinats des colonels Lamouri, Aouachria, Nouaouria... par Boumedienne en novembre 1958)» 
Quelle démonstration de mauvaise foi de la part  de Ben Bella qui remettait en cause le bien fondé de ce choix collectif, qui aurait du lui convenir en tant que politicien, mais la primauté "de l'intérieur sur l'extérieur" rendant à la lutte sur le sol algérien son mérite et son crédit, ne convenait pas aux "frontaliers", un groupe sur lequel planait l'ombre de l'obscure Boukharouba, alias "André" !
Lors de la COMMÉMORATION DU CINQUANTENAIRE DE L’EMG 
dont un résumé est fourni au Lien, on peut lire :
«Cela a été précisément le cas, hier, au forum d’ El Moudjahid qui a abrité une commémoration du cinquantenaire de la création de l’EMG et où le commandant Azzedine a relaté la vérité historique telle que vécue. Non seulement cela mais aussi la vérité historique dans ses prolongements futurs, ses implications post-indépendance. Il en ressort, en définitive, que l’état-major général, dirigé à l’époque par Houari Boumediene, s’est inscrit, dès sa mise sur pied, dans la logique de la prise de pouvoir. Aussi ce dernier s’était-il attelé à gripper la machine du Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA) et à sectionner les cordons de cohésion du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA). En fait, plus prosaïquement, l’état-major général, dès sa création, activait à couper l’herbe sous le pied des structures intérieures de la Révolution, c’est-à-dire les wilayas de l’intérieur, et ce, dans la perspective de mettre main basse sur le pouvoir une fois l’indépendance acquise.» 
Les intrigues sournoises personnelles d'ambitieux acteurs ont miné le mouvement de libération national jusqu'à l'exposer à l'échec. Les manœuvres pour la prise de contrôle de la révolution ont été recensées et classées par de nombreux témoins et historiens. Celle engagée par Boukharouba a réussi,  grâce à ses puissants alliés de Paris-Sion et aux franc maçons qu'il consultait en secret. Partenariat qui se poursuivra longtemps, après l'indépendance ! 
Première preuve : Cette affirmation peut être démontrée lorsqu'on relève les accords secrets, que les analystes dévoilent jour après jour, qui ont trait aux concessions faites par le Rais à la France pour permettre la poursuite de ses expériences d'armes atomiques et chimiques durant plusieurs années après 1962 ! Le plus grave, ce que je dévoile dans un article ancien (Lien) ou d'un document  téléchargeable "israéliens à reggane.pdf" est que l'inavoué bénéficiaire de cette "coopération" militaire qui a ruiné la santé et la vie de tant d'Algériens, était l'état sioniste, Israél !
Une seconde preuve de l'existence d'une collaboration entre Boukharouba et ses maîtres parisiens apparait à la suite des événements de 1967, consécutifs à la tentative de renversement dirigé par le chef d'état major Tahar Zbiri contre le tyran. Appréhendant toute nouvelle tentative de suppression de son totalitarisme militaire et de la chute de son trône, Boukharouba apeuré et dans un état de panique fit appel à ses alliés de la "fraternité" qui rassemblèrent des dizaines d'actifs de l'armée française, d'origine algérienne mais toujours en exercice dans les casernes françaises. Ces nouvelles recrues rejoignirent secrètement les rangs de l'ANP sous couvert d'un accord de coopération et suite à une prétendue amnistie offerte par l'état algérien.
Ce groupe de "repentis" rassemblait une pléiade d'agents au passé incertain, voir carrément des collaborateur (harkis) qui se retrouvèrent affectés à différentes tâches en Algérie, telle la filature et surveillance d'anciens moudjahidines des Willaya historiques III-IV-I-VI, et le quadrillage de l'administration militaire ! En un mot une Sécurité Militaire parallèle que ne contrôlait pas Kasdi Merbah, mais que le chef de la SM n'en ignorait pas pour autant l'existence.
Une troisième preuve:
Le maintien en poste dans l'administration civile, locale, ministérielle, gouvernementale, de tous les renégats dont les fameux agents de la SAS (Sections Administratives Spécialisées) qui avaient servi d'une manière ou d'une autre la France. Une majorité de secrétaires généraux de mairie, de sous-préfecture, de préfecture, de ministère et au plus haut échelon du gouvernement avaient repris en main les affaires administratives du pays et sa gestion. Ces agents constituaient le support administratif de la dictature et il a fallut attendre le fameux coup de maître de Chadli, un traité d'accord d'indemnisation qu'il avait signé avec Mitterrand, pour qu'ils deviennent "visibles". Une pension délivrée à la poste leur était accordée, faisant d'eux la risée de la population qui découvrait le passé de ces taupes. Beaucoup n'ont pas survécu à la crise cardiaque qui les terrassa !
La "coopération" franco-algérienne établie par Boukharouba ne se limitait pas à ces forfaitures
subversives, elle se poursuivit jusqu'à la fin de son règne. L'intrigant "n'enfilait pas une aiguille" sans consulter De Gaulle (devant lequel il s'était maintes fois prosterné cérémonieusement), ou avant l'assurance de son consentement. 
Révérence d'un despote criminel à un président criminel de guerre !
Les grandes décisions historiques du tyran n'étaient prises qu'après avoir reçu l'aval des "Chers frères" de Paris lorsque n'entrevoyant aucun préjudice, surtout financier ou économique.
Les prestigieuses nationalisations des hydrocarbures illustrent parfaitement la connivence existante entre les "chers frères" d'Alger et de Paris ! Ce dernier point sera plus clairement et amplement analysé dans la suite de la rétrospective de la saga Boukharouba.
La franc-maçonnerie de Paris lui rendait fidèlement la contre partie des services rendus en mobilisant ses média et en construisant une "aura" révolutionnaire et un prestige international qui réconfortaient le pouvoir de la dictature du "compagnon" en Algérie, pays mené vers la faillite généralisée et placé sur un plateau à la portée des banquiers-prédateurs du Nouvel Ordre Mondial juif. Car à propos de la dette, qualifiée "d'aide" par les banques talmudes, elle était injectée quotidiennement dans l'économie, et les titres en première page d'El Moudjahid (archivé et consultable) témoignent de cette frénésie d'endettement dans des projets pharaoniques sans perspective économique et dont le lourd tribut usurier devint un levier de pouvoir juif qui faillit réduire la population à l'esclavage, dans le années '90.  


Avec cette arrière plan historique révoltant en mémoire, on ne peut que condamner et fustiger les auteurs de  biographies fabriquées et d'oraisons funèbres sensationnelles qui n'en finissent pas de défrayer la chronique pour "immortaliser", "faire revivre"; "rappeler l'importance--le rôle primordial--la grandeur--et le mérite" de Boukharouba, l'intrigant du EMG
S.Chitour, MC. Mesbah, A. Mebroukine, P. Balta,
et tous les serviteurs d'un système frauduleux de gouvernance, destructeur d'hommes et de leurs valeurs morales, foyer de toutes les carences et défaillances que l'Algérie endure aujourd'hui, sont les ennemis de la vérité et les receleurs de l'injustice qui a régné dans ce pays pendant des générations.  

 Abusant de la naïveté de nombreux lecteurs, ils dirigent leur unique réquisitoire contre Bouteflika (sans motif et inlassablement depuis 1999), tandis que leur absolution est réservée à Boukharouba l'artisan de la catastrophe nationale.
Chitour dans une parade  rampante écœurante nous livre son commentaire d'un remake,
un film d'horreur dont il tente de nous faire croire que le scénario est celui d'un conte de fées où l'Algérie (la Belle au bois dormant) est séduite par le Prince charmant (Boukharouba) venu à sa rescousse pour la sauver des mains de la Sorcière (le sous développement), mais a été incapable d'accomplir sa mission ayant rendu l'âme en chemin ! "
Incroyable baliverne que ce message publié par Chitour ! Un relent de propagande socialiste ou un blanchiment d'une arnaque historique aux implications désastreuses ?
Il est incroyable et révoltant que ce "professeur à polytechnique" supposé pouvoir traiter de questions scientifiques sérieuses et intellectuellement exigeantes, sombre dans le surréalisme politique lorsqu'il s'aventure dans la chronique de ce personnage célèbre par l'opacité de toute sa biographie et de son œuvre. Son récit nous rappelle la littérature dédiée à "l'épopée soviétique" qui glorifiait les maîtres du Kremlin en les divinisant. Ceci dans le but d'absoudre leurs crimes génocidaires et leur dévouement à l'instauration d'un pouvoir talmude, après la prise en otage de la Russie pour en faire un abattoir de Goyim ! (Lien ou Éduquez-vous !).
Les balbutiements de Mr Chitour pour présenter l'apologie de "notre Lénine" nous rendent perplexes et nous amènent à examiner son état mental signalant une panne cérébrale importante. Serait-elle due à l'injection d'une surdose d'endoctrinement socialiste dispensée lors de ses randonnées au sein du volontariat estudiantin qui s'Ébranlait dans nos campagnes lors de la révolution agraire ? Ou serait-ce un retour de manivelle incontrôlable déclenché par le mécanisme de conditionnement communiste que dispensait le régime aux cercles d'étudiants des années 60-70 ? Ce déclic l'aurait apparemment plongé dans un état comateux que la nostalgie provoque chez certains amnésiques et épileptiques. Ceci en assumant naturellement qu'il est de bonne foi, n'a aucun intérêt personnel, ni de lien de parenté avec le juge-bourreau de la guerre d'indépendance, ni d'affinité occulte le liant aux loges-districts maçonniques. Ce qui serait très flatteur pour sa réputation au vu de sa montée médiatique suspecte.
 Dans son oraison funèbre tardive notre Chitour endosse le témoignage de Paul Bata et Ali Mebroukine, deux personnages énigmatiques qui partagent leur adulation de Boukharouba et se targuent de leurs relations passées intimes avec le Rais et même avec sa femme la charmante Anissa-Esther (Lien).    
Ce que l'on note à la lecture du billet de Chitour est l'exclusive insistance de l'auteur sur la description du caractère du Rais, de ses qualités imaginaires (qu'il fignole subjectivement), de sa vision (sic), de ses intentions, de ses rêves, de sa modestie, de sa pudeur, et blablabla..., en un mot en caressant le caractère émotionnel et non rationnel du lecteur, une méthode classique de manipulation talmude !
Mr Chitour, vous nous chantez une sérénade qui sonne à nos oreilles comme une cacophonie !
L'homme que vous décrivez n'est pas un prétendant à la main de votre fille que vous tentez de convaincre de l'accepter comme époux !
Qu'il soit beau, gentil, aimable, studieux, imposant, sérieux, ne sont pas les critères d'évaluation et du bilan du règne du plus grand tyran que l'Algérie ait enduré de son histoire moderne. "Un arbre est jugé  par ses fruits, pas par son ombrage !"
Les faits, Mr Chitour ! Donnez nous les faits sur   -les projets industriels pompeux et inopérants qu'il a lancés ! 
-Sur les décisions économiques désastreuses qu'il a prises! 
-Sur la terreur qu'il a fait régner! 
-Sur les privations qu'il a imposées au peuple pour "économiser de l'argent" qu'il dilapidait ailleurs pour se construire une image d'icône de la révolution internationaliste talmude ! 
-Ou encore régler les problèmes des autres, ce que le peuple n'avait pas à assumer ! 
-Sur le fiasco de la révolution agraire et la nationalisation des biens licites des citoyens ! 
-Sur la ruine de l'agriculture, à savoir celle d'un pays exportateur de fruits, de légumes et de viandes, devenu importateur de tomate en conserve ! 
Pour remuer quelques souvenirs désagréables que vous semblez avoir répudiés, permettez-moi de vous rappeler l'injustice qui régnait à l'université où les étudiants indigents issus du peuple recevaient 100 DA de bourse par mois, pendant que certains de leurs camarades, ceux recrutés par la SM, menaient un train de vie d'enfants d'Onassis avec 3000 DA / mois (N'est-ce pas Mr Chafik MESBAH ?).  
Vous souffrez d'amnésie sélective, vous qui détaillez les goûts artistiques de vôtre Saint-des- Saints mais perdez de vue les forfaits de sa dictature militaire et de la discrimination sociale des castes, au sommet la soldatesque (tous grades confondus), à la base la paysannerie et les "intouchables" réactionnaires  !  
 Votre compte rendu de la vie de votre idole est en décalage par rapport à celui de sources respectables (Ferhat Abbas, Benkhedda, Boudiaf,  etc...).  Le criminel aux méfaits reconnus et à la perfidie établie en toute objectivité par les observateurs et témoins intègres de l'histoire ne correspond pas au personnage que vous décrivez en termes si complaisants !  
Chitour endossant Balta (Lien) :
"Discret mais efficace, timide mais fier, réservé mais volontaire, autoritaire mais humain, généreux mais exigeant, prudent dans l´audace, voilà comment m´est apparu Boumediène lorsque j´ai eu à le connaître et à l´observer. Homme du soir, il aimait se retrouver, de temps à autre, tant qu´il était encore célibataire, avec quelques amis auprès desquels il se montrait enjoué et rieur, selon ce que m´ont affirmé plusieurs d´entre eux.»
Quel tableau séduisant du commanditaire de l'assassinat de tant d'Algériens patriotes dont le tort avait été de s'opposer à ses putches militaires de 1962 et 1965, ou d'avoir mérité la gloire par leur abnégation et leurs sacrifices au combat contre la France, sur le territoire national, pas hors des frontières !
A propos de ses revenus : 
Un révolutionnaire sans le sous n'a pas besoin d'un homme d'affaire millionnaire, Mr Zeggar, comme confident et représentant aux États Unis, auprès de Rockefeller. 
-Que sont devenues les 5/6-em des recettes des hydrocarbures (gaz naturel) après que la socièté El Paso n'ait payé que 1/6-em du prix du gaz dans un "contrat du siècle" que Boukharouba avait signé en personne ! 
-Et l'achat des 50 Boeing, également négociés par lui ?
Ce n'est pas Mr Chafik Mesbah, tant introduit auprès de sources "fiables"  qui nous donnera les réponses, car lui aussi nage dans la vénération virtuelle orchestrée par le pouvoir occulte (Photo)
qui s'accoude sur le système légué par la Zaim postiche !
Siège SONATRACH : L'empreinte digitale de la franc-maçonnerie symbolisant "Babel", la capitale mythique des Rabbins talmudes héritiers de la Babylone antique, capitale qu'ils espèrent ré-établir à Jérusalem. Une autre agence de Satan a ouvert ses portes. A croire que ses arrogants adeptes "illuminés" s'affichent aux yeux de l'opinion. «Combien ruineux est leur négoce !» (Coran)
Les réalisations ruineuses et les dégâts multisectoriels irréparables causés par la politique mensongère, la démagogie chimérique et l'utopie stérile de Boukharouba seront abordés prochainement.

                                          A Suivre......

15 août 2013

Algérie : La Face Cachée Et Occulte De L'Histoire Contemporaine .(3em Partie)

Le hold-up militaire opéré par Boukharouba et ses DAF au détriment de la révolution et du peuple avait été pressenti par de nombreuses personnalités de premier plan dont Ferhat Abbas, Benyoucef Benkhedda, Cherif Kheiredine, Mohamed Boudiaf, Mohamed Chaabani, etc...,
De nombreux militants intègres avertirent chacun à sa manière des risques et des dérives de cette usurpation de pouvoir.
Benkhedda dans un discours archivé à l'INA et reproduit sur Youtube :
Or, certains officiers qui ont vécu à l'extérieur n'ont pas connu la guerre révolutionnaire comme leurs frères du maquis. Guerre basée essentiellement sur le peuple et dont l'ALN a été le fer de lance. Le peuple a été l'artisan principal de l'indépendance. Les officiers qui sont restés pendant la durée de la guerre aux frontières tunisiennes et marocaines ont souvent tendance à ne compter que sur la force des armes. Cette conception dangereuse conduit à sous-estimer le rôle du peuple voir à le mépriser et créer le danger de voir naitre une féodalité d'une caste militariste tel qu'il en existe dans certains pays sous-développés notamment en Amérique latine. La révolution n'est pas l’œuvre d'une fraction du peuple mais elle basée sur la mobilisation de tout un peuple. »
Quatorze ans plus tard il déclarait dans le "Manifeste du 10 Mars 1976" (Lien) :
« le pouvoir personnel, aujourd'hui consacré, toutes les institutions nationales et régionales du parti et de l'état se trouvent à la merci d'un seul homme qui confère les responsabilités à sa guise, fait et défait selon une tactique malsaine et improvisée les organismes dirigeants, impose les options et les hommes selon l'humeur du moment, les caprices et le bon plaisir ».«Hélas ce coup d'état n'a rien réglé. Le culte de la personnalité est toujours en honneur. Le pouvoir personnel s'exerce sans contrôle. Il dispose à son gré du destin de notre pays, de nos ressources, du budget. Il impose a nos enfants un système éducatif de son choix. Il nous soumet à une idéologie hostile aux valeurs morales et spirituelles de l'Islam. Cet Islam pour lequel un million et demi d'algériens sont morts.» «Il est seul juge du maintien de la paix ou de la guerre. Le peuple n'est jamais consulté; pas plus d'ailleurs que les responsables algériens, y compris les membres du conseil de la révolution. A notre époque, un tel pouvoir est un anarchisme.»
Réagissant aux accusations lancées par ses détracteurs contre sa gouvernance despotique, Boukharouba ne trouva jamais le moyen d'y répondre dignement, intelligemment, car la justesse des arguments châtiant son pouvoir totalitaire était si manifeste, qu'il ne pouvait en débattre en privé ou publiquement, préférant se réfugier dans la censure et dans la répression brutale d'authentiques patriotes au passé glorieux. Au fur et à mesure qu'il éliminait toute opposition à sa dictature, son art de la perfidie et sa fourberie lui dictèrent de changer de personnage, en se construisant une nouvelle image au sens propre et figuré du terme. Les manipulations d'esthéticiens experts et les collections de couturiers renommés furent nécessaires pour transformer progressivement le rustre colonel en un président imposant et tiré aux quatre épingles. Sa quête de l'adoration du peuple atteignait enfin son but, aidée en celà par son verbiage populiste et démagogue qui martelait la populace embarquée dans des hystéries collectives et des galas politiques, après avoir été rassemblée, manu militari des heures durant, sur les places des meetings ou le long des trottoirs espérant le passage du Rais !  
Un système digne héritier des régimes antiques romains ou pharaoniques mais aux contours apparents d'un 20-èm siècle !
Ce dernier parvint à effacer de la mémoire collective la popularité de Ben Bella.
Pour perpétuer l'autocratie imposée à un peuple aux repères dévastés par la longue nuit coloniale, des plans de développement "horizon 70" furent élaborés pour entretenir l'espoir, fut-il mensonger. La "ligne qu'on atteint jamais" étant la carotte tendue à l'âne trottant docilement, pendant que le bâton de la SM veillait sur la bête en cas d'indiscipline !
Un monde d'illusions, de mythes et d'utopies fut bâti en abusant de la naïveté et de l'ignorance du peuple.
"Président de la république", "secrétaire général du parti", "ministre de la défense", "grand héro de la révolution", "prodigieux idéologue du socialisme spécifique", "leader du tiers monde et des pays non-alignés", "combattant suprême contre l'impérialiste", "avocat du nouvel ordre économique mondial", "porte voix des opprimés et des colonisés", etc... S'allongeait de jour en jour la longue liste de titres et d'honneurs dont ne taraient les média, même internationaux et d'allégeance juive sioniste sponsorisor du nouveau champion du marxisme d'essence talmudique. En poursuivant sa mission d'instauration d'une société communiste basé sur la création d'un " nouvel homme " (Errajoul El-djadid), l'agent des loges de Paris s'engageait dans une série de reformes embrassant tous les secteurs d'activité du pays dans le but de détruire les fondements séculaires, sociologiques-culturels-économiques-spirituels-religieux. Le même projet qu'avait entrepris Attaturk en Turquie, mais de manière plus subtile et discrète, fut mis en chantier pour mettre à genoux un peuple résigné, abruti par le travail de sape psychologique élaboré dans les laboratoires marxistes juifs. 
Contraindre les jeunes algériennes à parader en robe courbe (photo) devant les délégations étrangères à l'occasion de son 19 Juin ou du 5 juillet, dans un acte d'humiliation des Algériens. Décence que même la brutale force du colonialisme français n'aurait jamais osé enfreindre. 
Des Algériennes agressées dans leur honneur et dignité contraintes de s'exhiber devant la foule et les délégations étrangères, à la gloire du Rais !
Parallèlement, était créée une oligarchie axée autour des cercles des compagnons (franc-maçonnerie) et des comparses soutenant la dictature et bénéficiant de privilèges exclusifs économiques, sociaux, et politiques. Le partage des richesses s'effectuant au profit du "pouvoir" de la caste : les militaires (DAF et les recrues de l'Est algérien), les "révolutionnaires" du Parti, et les alliés intéressés de Boukharouba. L'occupation de postes de responsabilité dans l'administration du pays constituant une autre porte d'entrée aux prédateurs qui accouraient pour servir le "Père des Algériens" et bénéficier des fastes réservés à la nomenklatura. Nombres de fortunes actuelles ont pour origine cette période opaque de pillage économique, de fraude politique, d'abus de pouvoir, et de manipulation massive de la population.
Au peuple, le tyran distribue des promesses d'une vie meilleure ici bas, et un ventre plein une fois dans l'au delà (déclaration blasphèmeuse à la conférence islamique de Karachi; formule répétée dans un article du Le Monde sous la plume de Paul Balta) !
Des mesures dictatoriales sont décrétées pour atteindre les "objectifs" assignées à la révolution selon les visions cauchemardesques du tyran :
-L'austérité économique est instaurée pour mieux astreindre le peuple à des activités avilissantes et les contraindre à investir leur temps et leurs énergies dans la recherche de solutions à la pénurie et à l'abstinence.
Dans la semaine qui suivit le "redressement révolutionnaire"(1965), les produits de large consommation importés avaient disparu des étalages. La pénurie affectait tous les secteurs, la santé, l'éducation, le sport, l'alimentation, l'habillement, l'hygiène, le bâtiment, le transport. La misère administrée et gérée par le socialisme planait sur le pays; la disette était suspendue périodiquement au gré des campagnes de "satisfaction des besoins de la population", ceci afin d'éviter tout saut d'humeur populaire qui menacerait le trône du potentat. Au grand mépris du peuple, le raffinement extravagant qui avait saisi le despote lui accordait le privilège d'importer des "Habanas" avec lesquels il narguait ses audiences et pouffait la fumée au visage de ses interlocuteurs.
Le peuple, crédule naïf et innocent, fut embrigadé dans un système stalinien qui ne nécessitait pas, pour perdurer, des mesures draconiennes répressives semblables à celles introduites en Russie par les bolcheviks talmudes. Ces derniers avaient à confronter une société organisée autour d'une église structurée et des patriotes éduqués, ce qui nécessita des mesures radicales génocidaires où les opposants russes furent liquidés physiquement, par millions!.(Lien, Lien, Lien, Éduquez-vous !, Éduquez-vous !.......). Ce volet de l'histoire du marxisme-communisme est complètement occulté des manuels d'histoire, raison pour laquelle des idiots utiles du Nouvel Ordre Mondial juif persistent à militer pour un modèle de développement communiste. Des crétins gâteux se réclamant de cette idéologie ne se sont toujours pas relevés des campagnes de "vaccination socialiste" massive et d'intoxication marxiste, que l'édition, la presse et l'éducation dispensaient dans ce pays.
Le déferlement marxiste sur le plan idéologique et culturel fut accompagné de mesures économiques et politiques qui bouleversèrent l'organisation et le fonctionnement de toutes les activités du pays, encouragèrent des comportements irrationnels, incontrôlés, irresponsables et la démobilisation générale. Un bilan plus détaillé sera présenté schématiquement dans un article ultérieur qui sera réservé au recensement des méfaits causés par la gouvernance de Boukharouba et sa cabale d'ennemis de l'Algérie. Ennemis animés essentiellement par une cupidité insatiable et agissant au service d'intérêts allochtones étrangers. La Franc maçonnerie dominée par la juiverie internationale représentant le fer de lance de l'offensive conçue et dirigée par les "enfants de Satan" ! Les carences et les insuffisances qu'éprouvent aujourd'hui le pays et la société sont le résultat de cette dictature à laquelle Allah Miséricordieux n'a heureusement accordée que 18 ans d'existence officielle (1962-1980). Le "système" que les observateurs fustigent n'est pas celui qu'ils devraient désigner comme responsable. Le "DRS et les généraux", le "clan d'Oujda", 'le clan Bouteflika", sont des boucs émissaires que la Franc maçonnerie a intérêt à utiliser comme subterfuge, comme mythes 
délusoires et détourner l'opinion du pouvoir de l'ombre affilié au culte de Satan. Cette secte de Satan et du culte du "grand architecte" a enregistré une avancée certaine au point où certains édifices publiques ont été marqués par ses symboles et la toile" ne manque pas de le dévoiler à travers des blogs et des forum qui en "s'éduquant" découvre l'étendue de la présence du culte satanique (Lien, Lien, Lien). 
La Tour SONATRACH, Bentalha, Hotel Hilton, Hubble, la tête de taureau sur les billets de 100DA, le prosélytisme arrogant des Rotary-Lyons (1), etc..., confirment la présence dans les hautes sphères du pouvoir d'adeptes aguerris du culte. L'Algérie menacée par les méfaits de la franc-maçonnerie est le résultat du travail accompli par le Cheval de Troie Boukharouba et l'instauration de son option politique communiste, fruit du matérialisme abject et satanique du talmude, codifié dans l'idéologie marxiste .
Le travail subversif du rais a été récompensé par la réputation et le prestige que lui réservent l'histoire officielle et les nombreux complices de son règne. Les ministres et les membres de sa diplomatie d'alors louent ses qualités de "rajjal", "homme" qui ironiquement, se fit épinglé par ses maîtres qui lui désignèrent comme épouse "Anissa", une Esther ou taupe talmude qui n'a pas eu le temps de causer trop de tord  !
Le plus grave dans le parcours de notre adepte du culte de Satan après initiation au Caire, est le développement dans la personnalité de l'adorateur du "Grand architecte" d'un narcissisme mégalomaniaque et exubérant qu'il révèle dans maintes interviews accordés à ses porte voix. Paul Balta (Le Monde) étant un grand confident du Rais, il nous a légué l'enregistrement de scènes de narcissisme baignant dans l'indécence et l'auto congratulation, dans des documents disponibles sur youtube. Des auteurs, des historiens, des pauvres citoyens au cerveau lessivé, lui dédient toujours des oraisons funèbres d'adulateurs, entretenant le mythe du plus grand forfait historique enregistré en Algérie depuis la nuit des temps. Chems-Eddine Chitour (Lien) lui accorde un panégyrique humiliant qui insulte la mémoire des témoins et victimes de la dictature, et démontre le pouvoir de l'endoctrinement exercé envers la population dans son ensemble, et en particulier envers nombre d'intellectuels parmi lesquels ceux supposés rompus aux complexités des sciences exactes mais qui sombrent dans la folie et dans le délire une fois confrontés à l'observation de phénomènes humains. Preuve qu'on ne peut  maîtriser tous les savoirs et que les ingénieurs qui s'aventurent imprudemment dans l'analyse politique s'exposent souvent au ridicule par leur contorsion cérébrale et leur verbiage. Un article sera dédié  à Chitour et à sa séance de lèche bottes qu'il offre à titre posthume dans un article re-posté sur "alterinfo.com".

Pour résumer mon article présent, j'affirme que
Boukharouba a été la pièce maîtresse de la prise de pouvoir maçonnique en Algérie. Les séquelles de son règne résident dans toutes les carences qui frappent le pays, le pouvoir de l'ombre en étant l'instigateur en vue uniquement de satisfaire ses convoitises et asseoir sa domination. Gardons en mémoire que le culte maçonnique prêche à ses adeptes le suprématisme social, à savoir qu'à l'image des juifs "Élus de Dieu", les "très chers frères" sont convaincus qu'ils représentent une classe d'élites prédestinée à gouverner la populace et à jouir de tous les privilèges et droits qu'ils usurpent au reste des "tubes digestifs". Le pillage des richesses  et des biens collectifs ne sont qu'un volet des passe-droits que leur accorde le "Grand architecte". Par leur affiliation et soumission à la hiérarchie maçonnique internationale (juive) ils sont une épée plantée dans le cœur de la nation et du peuple et n'ont aucune allégeance et pas un grain de nationalisme envers leur pays. La "liberté-égalité-fraternité" est un slogan et un aphorisme qu'ils cultivent publiquement mais en réservent la pratique à eux seuls et jamais au "bétail", voué à l'esclavage. Dans ce chapitre et pour illustrer cette affirmation il faut savoir que le "service national" consistant en la conscription des jeune algériens sous l'autorité de l'ANP,  et naturellement des DAFs qui l'ont conçu, n'a jamais eu pour objectif la construction du pays ou son développement, mais l'instauration d'une couveuse d'esclaves où était dispensés, la brimade, l'insulte, le mépris et l'humiliation dans le but d'accoutumer des générations "d'appelés"  à la servitude et à l'obéissance, à la crainte et à l'effroi, et bien sûr en la vénération de l'autocrate au commande, dans ce cas Boukharouba.
Selon une stratégie identique, une autre catégorie de jeunes est en gestation, celle des surdoués de l'école et de l'université qui doivent succéder aux papas-et-mamans de la franc maçonnerie ou simplement gonfler les rangs des loges. Des milliers d'innocents étudiants et diplômés au grand mérite intellectuel et académique sont la proie d'une manipulation purement démoniaque consistant en l'initiation feutrée aux concepts de la franc maçonnerie dont une des plus perverses intrusions psychiques est l'élitisme, soit le sentiment d'appartenir à une caste spéciale, celle des "futurs dirigeants" et du "gratin de la société". Ce qui les noie dans l'arrogance et leur fait adopter des airs hautains et méprisants. C'est l'attitude typique de Satan transcrite dans la phrase "Ana kheiroun minhou".  Ces futurs petits démons recrutés par les grandes écoles et les instituts "d’excellence" traitant de préférence du marketing-Kabalah, auront définitivement acquis un caractère démoniaque et développé une affinité-relation avec le "pouvoir occulte". Un séjour en France ou au Canada présente une étape décisive et avantageuse pour la promotion sociale et l'ascension dans les "degrés" des loges.
Le système mis en place mérite définitivement le qualificatif de satanique car fonctionnant selon un mode subversif qui est d'ailleurs défini en détail dans les "Protocoles de Sion".
Notons que tout service rendu à Satan, le "grand architecte" vénéré par le culte, est récompensé par l'octroi de gratifications matérielles illimitées et pour certains hauts dignitaires de la secte, une consécration honorifique, où la gloire et l’immortalité sont inscrites. Une autre forme de gratitude de Satan à ses plus studieux enfants, consiste en l'envoi symbolique d'un trône (sous forme d'un grand fauteuil blanc), installé par un groupe "d'illuminés" affranchis aux règles des cérémonies maçonniques sataniques et qui est offert à un membre promu à un degré supérieur, (certainement une "grande maîtrise").
Dans la scène du documentaire enregistré lors du fameux "discours à l'ONU", qui montre Boukharouba pénétrant dans la salle de conférence,  Kurt Waldheim (grand maître) et les hauts responsables de l'ONU (siège de la LUCIE-Trust, le "fond" de Lucifer) accompagne le nouveau promu et l'invitent à s'asseoir sur le trône du Grand architecte (le fauteuil blanc). 


Ceci n'est qu'une l'illustration des pratiques occultes opaques de la secte, et la preuve de la nature réelle de cette conférence-cérémonie maçonnique, et ceci devant une audience complice majoritairement adepte du culte !!
Dans un article en préparation, le règne de Boukharouba sera disséqué plus en détail par secteur d'activité et son œuvre dévastatrice mise à nu. Le préjudice porté au pays par ses décisions irréfléchies et sa politique insouciante et mensongère sera plus évident après une revue de son "programme" politique.  
Un trait dominant ce phénomène de l'histoire d'Algérie est le degré de perfidie atteint par le régime "Boukharouba" qui est parvenu à convertir la trahison en acte de dévouement à la nation. L'ascendance latente de ce pouvoir sur l'opinion illustre le degré de nocivité de la propagande et de la manipulation exercées contre l'individu et les masses, spécialement en étant entretenues périodiquement (Chitour !).  Un enseignement tiré de ce paradigme est que le mensonge et l'oxymore sont des outils exploités adroitement par la franc maçonnerie qui réussit à falsifier la réalité et à aliéner l'opinion. 
Comme l'affirmait Boudiaf questionné sur son éventuel retour en Algérie et sa candidature à la magistrature suprême du pays : «Je ne souhaite pas diriger un peuple qui a pleuré l'homme qui l'a tenu sous ses bottes pendant 15 ans !»
Que des personnes intéressées le défendent au titre d'anciens collaborateurs de sa tyrannie est concevable, mais que des gens, sans affinités avec son régime, le glorifient toujours est inadmissible et signalerait leur active participation à l'omerta entourant le complot criminel.
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(1)Note:«Au Caire les maçons se retrouvent discrètement sous le couvert du Rotary ; les frères algériens ou d’autres pays arabes ne peuvent assister à des tenues (réunions secrètes) qu’en France ou dans le reste de l’Europe.»
(source : http://www.grandorientarabe.org/) !!
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                                                        A Suivre....

6 août 2013

El-Watan : Le Travail De Sape Sociale Et Les Armes De Destruction Massive Silencieuse.

Une devise utile à retenir est d'éviter de "réinventer la roue". Pour le thème affiché en page d'accueil et que ce blog tente de partager, il y a des personnes plus qualifiées qui l'ont décortiqué et le propose au lectorat du monde via leur site. C'est pour éviter de plagier leur écrits, que j'ai obtenu l'autorisation de les traduire, selon le besoin, mais en citant toujours l'origine et en les référençant convenablement.
C'est le cas du Professeur H. Makow qui a gracieusement accepté de voir ses articles du site "henrymakow.com/", traduits et publiés ici (aussi fidèlement que possible), à juste titre et sans conditions préalables.
Tirant une grande inspiration de cet écrivain défenseur de l'humanité et un croyant qui à travers ses convictions religieuses propres partage cependant les préoccupations des musulmans conscients des enjeux de l'heure. Enjeux, dont l'un n'est pas des moindres puisqu'il traite de la femme dans un contexte mondialiste dominé par la propagande talmude dirigée contre l'humanité. Ce sujet peut être analysé avec une teneur religieuse, mais pour une majorité il suffit d'aborder la question sous l'angle socioéconomique et psychosociologique et tenter de satisfaire le besoin de savoir de toutes les tendances et approches, et de répondre à leurs interrogations.
Sous le titre sarcastique de  "Women Don't Need Men" (Les femmes n'ont plus besoin des hommes) l'auteur nous informe des déconvenues que les femmes aux USA expérimentent après avoir été soumises à la propagande illuminati de remodelage des rôles femme/homme et avoir adopté pour nouveau crédo la "réussite sociale et professionnelle" au détriment de celui "d'épouse et mère de famille". Le choix des USA comme référence sur le sujet n'est pas fortuit, il permet de répondre aux détracteurs du courant de pensée traditionnel/religieux qui défendent la position de la femme exemplifiée dans la société américaine, et dénigrant celle combien gratifiante de femme au foyer. Ces penseurs, eux mêmes grisés de l'intox illuminati/talmude, nous harcèlent pour nous leurrer en présentant l'argument boiteux que le valeurs sociétales de la "grande démocratie américaine" (sic) sont la norme ultime. Les statistiques et les analyses socioéconomiques nous informent cependant que cette exaltation du système en vigueur aux USA est une arnaque historique, un vernissage d'une réalité amère et un outil de désinformation aux effets destructeurs. D'où les tendances et les modes dévergondées que les média (presse, TV et surtout Hollywood) créent intentionnellement, et vulgarisent pour une consommation massive mondiale et une intoxication de la population de la planète.  Le syndrome de l'imitation populaire aveugle est le véhicule de cette "mode" qui a pris racine dans notre pays depuis les incursions marxistes aliénantes de l'ère du "socialisme spécifique" instauré par le transfuge de l'Islam, Boukharouba, alias "André", alias Boumédienne. Ce sujet en lui même est l'objet de nombreuses études qui sont hélas bloquées par la tyrannie des média talmude/illuminati parce qu'elles dérangent les convictions instillées au "bétail" par le Nouvel Ordre Mondial et rendent obsolète le mythe de l’Éden américain.
Henry Makow, Ph.D:
«Le transfert/partage du pouvoir vers/avec les femmes
était une opération d'ingénierie sociale et pas un levier du progrès social. Il a été conçu pour inciter les femmes à poursuivre la "réussite professionnelle" comme gage de bonheur, au prix du sacrifice du mariage, de la fondation d'un foyer et de l'institution bénie de la famille. On leur a dit qu'elles pouvaient ainsi tout avoir.
Pour la plupart, ceci n'était qu'un mensonge

«Le féminisme a convaincu les femmes qu'elles «n'avez pas besoin des hommes", ceci depuis les années '60. Maintenant les femmes ont un problème. Elles ne peuvent pas trouver de mari
Makow nous énumèrent quelques chiffres significatifs sur ce que les statistiques officielles ne dévoilent pas. La situation catastrophique des USA devrait avertir les politiciens qui se lancent dans les débats publiques, comme c'est le cas en Algérie qui actuellement assiégée par une vague de féminisme aveugle, débile, frénétique et hystérique.
Le consensus qui se développe sur le sujet démontre la présence de "l'ennemi de l'intérieur" qui complote sans relâche pour assoir les prémisses favorables à une prise de pouvoir maçonnique/talmude qui guête le départ de Boutiflika. 
Les média de la subversion, ELWatan, Algérie-Focus, TSA.com, exaltent la libération des femmes de manière identique à celle qu'ils ont confectionnée dans leurs campagnes d'aliénation à visée islamophobe. Citons brièvement leur levée de bouclier contre les panneaux publicitaires dénonçant la drogue et les boissons alcooliques ! Cette action commerciale (campagne commanditée par une nouvelle limonaderie) a soulevé l'indignation chez El-Watan : «Panneaux prosélytes à Béjaïa». Le même quotidien en contradiction avec son hypocrite dénonciation du prosélytisme religieux s'élance dans une défense sans retenus des "non-jeuneurs ",  prosélytes de facto de la haine contre l'Islam. 
Le féminisme est un outil de destruction des sociétés Goyim mis en place par les "enfants de Satan" (consultez les sociologues américains intègres qui dénoncent et dévoilent les dessous de ce mouvement , surtout Henry Makow, qui en est un des proéminents représentants). Le génocide par l'éradication des naissances dans le cadre du mariage est un des objectif de cette fraude sociétale, à coté des vices et de la dégénération morale que le régime du célibat est fatalement condamné à produire dans une société sans cellule familiale, donc sans base saine de renouvellement et de perpétuation de la race humaine. 
-Qu'on pense El-Watan ?
-Dans un article suintant la perfidie et la malveillance morale et spirituelle, il publie un texte intitulé  «Je vis seule, et alors ? » dans lequel des Crypto-juifs, Feriel Kolli et Akram El Kébir (Oran) orchestrent une incitation au désespoir et au suicide collectif en prétendant légitimer le choix de plusieurs victimes de la déchéance humaine que la propagande féministe a engendrée parmi des "intellectuelles" qui furent induites en erreur par les officiers de Satan qui activent dans le dogme de la laïcité et du libertinage ! 
¨Pour illustration :

© Photo : AFP ---------------> Le patron officiel d'El-Watan !
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La catastrophe orchestrée par Rothschild et ses agents :
Citations extraites d'El-Watan :

«Une étude récente menée sur les femmes du Monde arabe révèle que 51% des Algériennes ayant l’âge légal de se marier seraient célibataires.»
«J’ai encore besoin de profiter de mon indépendance avant de m’engager et de fonder une famille, affirme Aya, 31 ans. Ma sœur sortait plus souvent que moi puis elle a eu des enfants et tout a changé pour elle.» Cette ancienne basketteuse devenue femme de ménage vit seule dans un appartement situé près d’un quartier balnéaire de la région d’Alger. Elle est l’une de ces femmes qui ont choisi de remettre à plus tard leur projet de famille pour privilégier leurs choix individuels. «Ce n’est pas un choix, rétorque Nadia, 47 ans, ingénieur dans un laboratoire pharmaceutique, je n’ai tout simplement pas trouvé chaussure à mon pied et je préfère vivre seule que mal accompagnée. J’ai attendu de finir mes études pour avoir mon propre logement.» 

 «Aïcha, sexagénaire, nouvellement retraitée de l’enseignement, a, tout naturellement, appris à vivre seule dans son petit F3 depuis le décès de sa vieille mère –avec laquelle elle avait toujours vécu–, survenu il y a quatre ans.»

Notons le machiavélisme de cette campagne reprise par pratiquement tous les média liés aux réseaux juifs talmudes de la planète !
Pour en citer quelques uns : Algérie-Focus, slateafrique.com,
algeria-watch.org, etc...

5 août 2013

Algérie : La Face Cachée Et Occulte De L'Histoire Contemporaine . ( 2ème Partie)

Le Grand secret :
Boukharouba fut traumatisé par le crime génocidaire de 1945 commis par le colonialisme français contre les populations civiles de Sétif, Guelma et Kherrata. Il partagea avec ses semblables l'indignation que les massacres avaient suscité au sein de la population et décida d'exprimer son mécontentement en refusant la conscription dans l'armée française.
Noble sentiment que cette révolte contre l'occupant qui allait le mener à l’exil, et après de dures péripéties, le mener au Caire.Très intelligent et entreprenant il se distingue de ses compagnons. Grâce à ses aptitudes intellectuelles, il se fait remarquer par ses enseignants égyptiens qui le contactent en vue de l'initier au culte de la franc maçonnerie, secte qui noyautait la hiérarchie politique et militaire du pays et dominait l'apparatus des nouveaux maîtres égyptiens siégeant au "mouvement des Officiers Libres" conduits par Djamel Abdelnasser, le futur dictateur égyptien et démagogue prêchant la révolution socialiste.
 A l'image d'Attaturk, le Rais d'Égypte entreprit d'instaurer le communisme, version populiste locale, en sapant les fondements de la société à travers des discours politiques démagogiques et pervers, et des reformes économiques staliniennes. Ce discours militant séduit Boukharouba qui y trouva une réponse à ses propres convictions nées de motivations sociales et psychologiques particulières, sa haine de la bourgeoisie et des propriétaires terriens. Une tare héritée de son statu social de paysan indigent et qui allait le ronger toute sa vie tout en conditionnant son idéologie politique et économique durant son règne de tyran. Stigmatisé par ce sentiment de vengeance son parcours historique sera la concrétisation de cette soif de "régler des comptes" avec une société stratifiée où les "nobles", les "Sheikhs de Zaouia", les riches propriétaires terriens, les bourgeois et les colons dominaient une population minée par l'ignorance et la misère institutionnalisées par l'occupant. C'est à travers cet arrière plan psychologique que de manière appropriée seront appréhendées les manœuvres et les agissements de l'ambitieux colonel, pendant et après la guerre de libération.
Adopté par la franc maçonnerie locale notre révolté est introduit au cercle des "très chers frères" de l'ambassade de France au Caire !
Ses compagnons algériens peuvent témoigner du changement qui eut lieu dans leur dure condition de vie. 
Un compagnon de Boukharouba, devenu après l'indépendance inspecteur de l'enseignement primaire à Oran, déclara : «Un mandat postal était délivré à Boukharouba qui généreusement partageait ses revenus et assurait à plus d'une dizaine d'entre nous une vie plus confortable. Mes recherches sur l'origine de ce "mandat-poste" s'avérèrent infructueuses même après avoir longtemps côtoyé le bénéficiaire. Une chose me frappa cependant, lors de fréquentes promenades dans la ville du Caire et durant plusieurs randonnées, Boukharouba s'excusait et me quittait. Entamant sa filature, je le vis maintes fois pénétrer dans l'Ambassade de France et y passer de longues heures !»
Le complot est scellé à cet endroit. Le "cher frère" nouvellement recruté retiendra l'attention des adeptes du culte de Satan et bénéficiera du soutien de l'entière organisation et de sa logistique. La promotion du "Père des Algériens", personnage calqué sur celui d'Attaturk, débutera donc par la formation militaire qu'il le propulsera au rang de colonel en un temps record. Une croisière est organisée avec une cargaison d'armes, opération qui servira de tremplin vers la notoriété et l'historicité du poulain que les loges françaises ont pris en main et sont décidées à mener au poteau d'arrivée en champion de la guerre de libération.
Le choix du Maroc n'est pas fortuit mais tactiquement optimal car les services secrets du "Grand Architecte" y sont bien implantés ce qui facilitera leur travail de coordination avec les centres de transmission crées par Boussouf  et repris par Boukharouba. 

Première étape de la mission au Maroc :
Défricher le terrain de la promotion du futur zaim en liquidant les patriotes gênants. Les annales de cette période sombre de la guerre de libération sont explicites sur le sujet. Des pratiques maffieuses sont la règle dans l'entourage de Boussouf, dont fait partie Boukharouba, et la liquidation physique est systématique (cas de Abane Ramdane). Boukharouba en charge, la méthode consiste en la création de tribunaux militaires d’exception, présidé naturellement par lui. L'agent "André", nom de code de notre colonel, arrête des jugements et des exécutions expéditives où la strangulation avec fil de fer permet d'économiser les munitions !  Ceci nous donne un avant goût des valeurs morales et de la délicatesse des sentiments du futur chef d'état-major général de l'ALN ! Un de ses acolytes du conseil de la révolution, Cherif Belkacem, témoin de la tartuferie (document publié sur youtube.com) des larmes de crocodile déversées par le colonel-criminel lors d'un discours à la "populace", fit une longue éloge de son maître où il exalte le caractère du président d'alors, jugé débordant de tendresse, ou "ha-nana".  
Strangulation avec un fil de fer ! Cet acte de barbarie fut infligé à de nombreux glorieux patriotes, Abane Ramdane en étant qu'un illustre exemple, résume le caractère impitoyable du plan de subversion opéré par des forces occultes contre le mouvement de libération. Les manœuvres de quadrillage de l'ALN et du FLN entreprises sournoisement par  notre ambitieux agent maçonnique se poursuivront inlassablement avant et après l'indépendance. Dans sa quête d'une vendetta contre la société qu"il haïssait et qu'il rendait coupable des frustrations et des mauvais traitements qu'il avait subis durant son adolescence, le futur tyran utilisera tous les moyens pour asseoir son règne  !
Devant l'énormité des actes criminels et des purges internes organisées par le colonel, le souverain du Maroc, Mohammed V, irrité par ses pratiques sanguinaires, lui ordonna de quitter le pays. Les "chers frères" venus à la rescousse, lui préparèrent une nouvelle base d'opération, la frontière algéro-tunisienne, région où une nouvelle étape de la montée du colonel allait être franchie grâce à une série de conspirations dont la plus importante sera la préparation de l'infiltration de l'état-major et sa prise de contrôle par les célèbres DAF, "déserteurs de l'armée française", officiers et agents tous intimement liés au pouvoir de l'ombre de France qui sponsorisait cette opération de détournement du futur gouvernement de l'Algérie indépendante. 

La suite des événements révélera l'étendue de ce complot mené de main de maître par la juiverie de France via sa succursale franc- maçonnique.  Nul besoin de s'étendre sur les détails du hold-up militaro-politique exécuté par l'état-major général de l'ALN après l'annonce de l'indépendance, cette récupération du lourd sacrifice de tout un peuple par une junte de mercenaires et de traîtres est amplement documentée et peut être décryptée même à travers les fallacieux écrits "officiels" ou ceux des historiens "de service" (Stora, Harbi, etc..).
La purge, de type stalinienne et inspirée des méthodes juives bolcheviques, n'épargnera aucun des grands hommes qui eux menaient, de l'intérieur, la lutte de libération. Amirouche, Haoués, Chaabani, etc, etc...
Les Prémices De La destruction Programmée De L'Algérie :
En échange de l'assurance de sa promotion à la tête du pays, le colonel sans foi ni loi, sans état d'âme ni scrupules, se devait de respecter ses engagements envers la hiérarchie, celle des Grands Maitres des loges qui l'avaient commanditaient et hissaient à ce poste.
-En quoi consistaient ces engagements ?
-Essentiellement en les directives de l'agenda du Nouvel Ordre Mondial Juif !
-Principalement en l'institution d'un état laïque, sous couvert de l'établissement d'une république socialiste à façade "révolutionnaire", servant à bouleverser tous les fondements traditionnels, culturels-politiques-et-religieux, de l'Algérie !  En un mot le modèle décrit dans les écrits des marxistes juifs qui s'attachaient à instaurer un ordre d'essence talmudique satanique (lire à ce propos l'article qui précède pour plus ample explication).
La Stratégie déployée :
Les étapes à suivre sont définies par les stratèges des loges de Paris, la juiverie française détenant les données extraites de la longue histoire de la résistance algérienne contre l'envahisseur que les forces occultes dirigent contre le pays. Des articles de ce blog élucident l'ingérence des talmudipèdes de Paris dans la campagne de colonisation de l'Algérie par leurs proxies de France  Lien, Lien, Lien.
Un axe essentiel est tracé : diriger ses actions de subversion contre la cible majeure, foyer des révoltes qui secouèrent la puissance colonisatrice : la "Zaouia". Le centre de formation des glorieux moudjahidines, qui depuis l'Émir Abdelkader et tout au long des années d'occupation avaient opposé la plus grande résistance, militaire, religieuse et spirituelle, à l'occupant. S'en suivit donc dés 1962, des campagnes de dénigrement mensongers contre cette institution et ses "Sheikhs" qu'on accusa de collaboration avec l'ennemi et de "maraboutisme", un euphémisme qui servit à éliminer physiquement des hommes dont la vertu avait été de préserver le dogme et la pratique de l'Islam dans son cadre authentique et selon le rite malikite. Ben Badis et le rite wahhabite furent imposés comme canons "orthodoxes" pour saper les fondements religieux de la société et ouvrir les portes à la dissension et au conflit confessionnel interne que ce mouvement, né au Najd (Capitale Riadh), allait nourrir jusqu'à enfanter la crise des années '90.

                           À  SUIVRE.........     

17 juil. 2013

Algérie : La Face Cachée Et Occulte De L'Histoire Contemporaine . (page Révisée)

"La vérité est fille du temps, non de l'autorité".
Combien sage, éducative, et instructive est cette sentence ! Elle nous révèle que le mensonge est condamné à être réfuter et à s'effacer après avoir été temporairement imposé par la force.  
L'objet de cet article est de démontrer qu'un pouvoir occulte, la franc-maçonnerie, présente en Algérie dés 1830 (*), a enregistré une avancée certaine et sa présence est incontestable malgré l'omerta et la discrétion dont elle s'entoure. La lecture des annales, à savoir le recueil relatant les événements année par année, dans leur ordre chronologique et sans commentaire, est stérile et inopérante car produite dans le cadre de l'histoire officielle tortueuse servant de paravent au complot initié principalement avant le déclenchement de la guerre de révolution et poursuivi de manière subtile sous la houlette de M.Boukharouba, alias Houari Boumédienne. 
Le texte qui suit tentera d'exposer la nature réelle de cette grande fraude historique à travers les méfaits du démagogue le long de son parcours historique. De 1954 à 1979 soit avant, pendant, et après l'indépendance. Lui et ses complices, les acteurs de second rang ayant occupé le devant de la scène politique, ont instauré un système calqué sur le projet du Nouvel Ordre Mondial Juif. Affirmation qui au premier abord paraîtra choquante pour certains et suscitera des réactions peut être violentes, mais les faits avancés devront graduellement soulever d'abord le doute dans l'esprit du curieux, déclencher le désir d'approfondir le sujet, et enfin encourager une étude sérieuse de la question pour arriver à une conclusion et à un jugement objectif. 
Mise en garde : 
L'observation rationnelle d'un quelconque phénomène humain ou matériel ne peut produire d'informations significatives aidant à découvrir la vérité si l'esprit ne se libère pas des facteurs essentiellement mentaux ou "psychologiques" : les émotions, les sentiments, les idées reçues, les préjugés, les postulats avancés par des sources non fiables, les convictions produites par un système de propagande, les vérités imposées par la force, les manipulations exercées par un pouvoir tyrannique, les faits décrétés authentiques par une autorité oppressive, etc...
Première règle à respecter : reconnaître que les informations qui ont été diffusées pendant longtemps sont le fruit d'un travail de manipulation et de conditionnement, souvent opéré à grande échelle et ciblant l'opinion avec des moyens de communication centralisés puissants et efficaces, la télévision, la radio, la presse et la littérature, l'éducation et la culture.
Le système politique mis en place à l'indépendance s'est réclamé du socialisme et de ce fait s'est inspiré d'un modèle satanique conçu par des individus qui sont entièrement dévoués à la destruction des gens qui n'appartiennent pas à leur caste : les prédateurs juifs d'inspiration talmudienne. Le socialisme, le communisme et le marxisme, même sils ne disent pas toujours leur nom, ont été dissimulés sous le subterfuge de "révolution", et forment l'idéologie dont s'est inspiré le zaim et ses acolytes qu'ils l'ont érigé en modèle de développement du pays. Selon ce modèle le système monopolisa l'information pour contrôler les esprits et les nourrir d'utopie et de démagogie. Pour construire ce système, leur version officielle de l'histoire a supprimé ou mutilé les témoignages, les documents authentiques, les chroniques, et tous les arguments servant à édifier un bilan intègre du passé. La contribution d'acteurs historiques offrant un apport authentique, a été supprimée, et leur voix réduite au silence. Toute opinion contradictoire du discours officiel a été supprimée et son auteur sanctionné par l'omerta ou  simplement liquidé physiquement.
La pratique du  mensonge, les promesses non tenues, et les contradictions dans le discours et les agissements, sont les premières sonnettes d'alarme qui doivent réveiller le dormeur et l'aider à questionner ses "certitudes".

Pour acquérir une vision claire de la vérité une règle supplémentaire s'impose qui est celle de s'éloigner de la perspective de l'historien académique ou du chercheur universitaire si elle se penche uniquement sur l'analyse des faits classés, des statistiques officielles, des témoignages ou des documents publiés durant la période de dictature. Elle doit avoir pour ambition de s'orienter vers la découverte de la perspective occulte et diffuse du pouvoir réel, celui de l'ombre, dont le cheminement, les décisions et les agissements sont secrets comme le nécessite entre autres l'adhésion à la franc-maçonnerie.  Au lieu de vérité, ce pouvoir de l'ombre a confectionné des mythes populistes greffés de légendes réductrices embellies de "militantisme", de "faits d'armes", de "déclarations historiques", etc...Ceci uniquement pour transformer les personnages utiles et actionnaires du système dictatorial en héros et exploiter abusivement leur image "gonflée", pour leurrer un peuple confiant et mieux domestiquer les masses de naïfs citoyens. 
L'Histoire connue de l'humanité est parsemée de ce genre d'escroqueries. Une vaste et exhaustive documentation est aujourd'hui disponible pour revisiter d'importants chapitres de l'Histoire officielle contemporaine ou ancienne et découvrir les fraudes qu'elle recèle, les mensonges et les aberrations qui ont été sanctifiés et imposés aux peuples de la planète par les maîtres de l'intrigue. Les guerres mondiales, la Shoah/Holocauste, les révolutions socialistes/communistes, les génocides, les conflits religieux, les crashes financiers et les crises économiques, ont été façonnés, triés et maquillés à volonté, puis insérés dans la conscience collective, de manière à confondre l'opinion et dissimuler le rôle et les responsabilités des parties présentes et participantes dans le déclenchement et le déroulement  d'événements critiques pour l'humanité. Le monopole des média, de l'éducation et des institutions politiques, acquis aux mains des prédateurs juifs, a autorisé ce travail de malversation par le tripotage de l'histoire.
Les maîtres de l'intrigue ont taillé à leur mesure des fraudes et des mythes. Les Goyim prisonniers de ce système mensonger sont aveugles et ne conçoivent pas que l'éducation par exemple, joue le rôle de véhicule d'une imposture dont ils n'imaginent pas les dimensions et les enjeux. Comme les perruches, ils mémorisent et répètent fièrement et bêtement les boniments officiels. Pensant être instruits et intelligents et parce qu'ayant ingurgité le contenu des manuels scolaires, des intellectuels se réclament de différents "savoirs" et se sont transformés en chambre de résonance de la propagande diffusée par les "maîtres de la subversion". Ces derniers sont les hommes formant le pouvoir de l'ombre et de la subversion satanique, dont les tentacules étreignent la planète au sein des organisations subversives, "Kosher Nostra", "banques juives", "perfides shylocks", "communauté des Enfants de Satan", "talmudipèdes" (**) "rabbins Talmudistes", "Illuminati",  "loges maçonniques", "club des élites", "ordres suprêmes", etc... Les noms diffèrent selon les analystes, mais pointent tous vers le même groupe de prédateurs malveillants qui œuvrent à l'instauration du Nouvel Ordre Mondial Juif. Pour accomplir ce dessein une secte religieuse a été structurée pour y recruter des sous-fifres non juifs, agents cupides et consentants. La secte aide à occuper de plus grands espaces géographiques au profit du pouvoir occulte suprême talmude. Ses membres sont essentiellement motivés par le gain matériel et les honneurs, sauf pour quelques illusionnés qui se réclament de la croyance en un "Grand Architecte", nom de théâtre de Satan/Lucifer !
Le pouvoir judaïque œuvre à l'établissement d'une dictature juive fondée sur la mise en esclavage et l'exploitation des Goyim, du moins de ceux ayant survécu au génocide programmé et sélectif des "tubes digestifs", opération en cours aujourd'hui à travers divers manigances médicales, conflits sanglants, manipulations génétiques, produits de consommation nocifs.
Un aperçu de ce système d'organisation politique et sociale a vu le jour en Russie, sous le règne du Bolshevisme, parti qui prit le pouvoir en 1917 en se réclamant du marxisme, idéologie développée par Karl Marx, fils de Rabbin et adorateur de Satan (lien exposant sa "poésie" sulfureuse  !!). Le choix du marxisme comme levier à l'établissement de l'hégémonie talmude n'est pas fortuit. Il permettra d'aborder le sujet principal de cet exposé, l'Algérie. Il est aujourd'hui de plus en plus évident qu'une campagne d'aliénation massive a été opérée contre le peuple sous le règne de Bouhkarouba, une figure emblématique du marxisme (juif). Sera  exposé son rôle d'initiateur et de guide à l'instauration d'une dictature maçonnique .
Quel est le modèle politique envisagé par la "révolution socialiste" et prêché par la clique des colonels issus de l'armée des frontières ? 
Les écrits de Marx publiés durant sa jeunesse clairement exprime "sa haine de tous les dieux" et ses biographes relèvent son "pacte avec Satan" (Lien). Une recherche sur le net (moteur startpage.com) de la coordination "communism and judaism" retourne 147,386 résultats. L'énumération aléatoire des références indiquent que les deux mots ont donc statistiquement une corrélation significative. Parmi les documents publiés, des études exhaustives apparaissent au grand jour et démolissent tous les concepts acquis et les idées transmises par les discours politiques, les manuels scolaires ou la littérature traitant du communisme. Quelques citations suffiront pour jeter la lumière sur la nature occulte et malveillante du marxisme et de ses dérivées, le communisme et le socialisme. 
Quelle parodie des faits l'histoire officielle et la propagande diffusée ont pendant des décennies défendu : l'oxymore de la destruction humaine,  revêtue d'utopiques "hautes valeurs humaines", "d'égalité sociale", et "de luttes des classes !
1- Elizabeth Dilling dans son oeuvre magistrale "The Jewish Religion: Its Influence Today" (Lien du site et Lien-pdf) déclare :
«Marxisme, socialisme et communisme ne sont en pratique que le capitalisme d’État géré par une minorité de privilégiés exerçant un contrôle despotique et total sur une majorité ayant pratiquement aucuns droits personnels (légaux) ni droit à la propriété. Comme il est explicité dans ce document, le judaïsme talmudique est l'ancêtre du communisme moderne et du collectivisme marxiste, tels qu'imposés aujourd'hui et appliqués à un milliard ou plus de la population du monde. Ce n'est que par la compréhension approfondie de l'idéologie dont ce collectivisme est originaire, et ceux qui la dominent et la propagent, qu'on peut espérer voir le reste du monde échapper au même sort. Communisme/Socialisme a été propagé par les juifs et a été dominé par eux depuis le début.»
Il n'y a pas de conflit moral, philosophique ou éthique quel-qu’il soit entre le judaïsme et le collectivisme marxiste, tels qu'ils existent dans la pratique. Le marxisme, auquel toutes les branches du socialisme nécessairement adhérent, a été conçu par un Juif, Karl Marx, lui-même d'origine rabbinique. Toutes les sources juives vantent aujourd'hui  son ascendance rabbinique, et sa "scrupuleuse habilité dialectiquedue à son héritage talmudique (qui se manifeste sans doute par son incompréhensible et chicaneur "Das Kapital"). Marx n'a pas réellement inventé, mais a simplement vulgarisé le Talmudisme pour l'ingestion des Gentiles/Goy. Le "système socialiste" qu'il a conçu n'apporte qu'​​un moyen pratique à un État dominé et contrôlé par une minorité juive de gouverner par la dictature absolue sur tout et sur tous, un concept qui a été instauré avec beaucoup de succès dans certains pays du Monde qui à ce jour sont sous la dictature marxiste. Le socialisme est en effet seulement le trèfle tendu au nez de la vache pour l'attirer dans la grange et la conduire à la machine à traire. Il s'agit d'un mécanisme par lequel un «humain» peut conduire tout un troupeau de non-humain dans la grange contrôlée par les Juifs 
 Le culte de la franc maçonnerie étant également une façade du judaïsme talmudique, il introduira en Algérie l'idéologie politique nuancée du marxisme soviétique. À cette occasion notons que la guerre contre la religion (Islam), qualifiée "d'opium du peuple" sera furtive, voilée derrière le paradigme de la "modernité et du progrès économique", opposé au caractère "traditionaliste de la croyance et de la foi".  
Agenda secret : les lignes principales de la stratégie  d'agression mise en place en Algérie
Un travail colossal de détournement de l'histoire et des destinées d'un peuple et d'une nation a été mis en place sous l'égide des agents consentants de la juiverie internationale. La résistance naturelle, presque instinctive du peuple durant la colonisation, était infaillible et inépuisable face à l'agression multidimensionnelle de l'occupant qui rencontra un écueil à sa politique coloniale d'anéantissement, politique contrariée par l'attachement du peuple algérien à ses valeurs. A donc été élaborée une réplique, fruit d'une réflexion de la juiverie de France et de sa succursale maçonnique, soit un plan alternatif, "de secours" adapté à l'éventualité de l'indépendance de l'Algérie. Un pourrissement interne était programmé et mis en exécution par l'ennemi de l'intérieur, selon la stratégie poursuivie lors de l'offensive victorieuse contre l'empire Ottoman et le démantèlement du Califat. Cet empire certes moribond, au début du 20 ème siècle, vécut l'intronisation du franc-maçon et Juif-Domneh Mustapha Kamal (****) à la tête de l'état. Imposant ses reformes, il détruisit les fondements sociaux, religieux, linguistiques et "civilisationnels" du pays. Attaturk ("Père des Turcs") doit être considéré comme l'outil le plus performant que les enfants de Satan, obéissant à leur "Architecte", ont inventé dans leur combat contre l'Islam.  Un article antérieur de ce blog en dévoile quelques méandres.
 Il fut décidé qu'un "père des Algériens" comblerait naturellement les stratèges juifs, sans qu'il appartienne à la "tribu", aussi longtemps qu'il serve leur dogme, dans ce cas le socialisme ! C'est ce plan qui sera élucidé dans un paragraphe ultérieur.
Dans cette perspective globale, l'Algérie en avant poste de l'empire ottoman avait été militairement soumise. Dans un  contexte identique, l’Égypte, dépositaire du savoir et centre de l'orthodoxie musulmane "Sunnite" (*****), allait être remodelée par la vague de "réformistes" promue par les loges maçonniques locales menées par El Afghani, Abdou, Redha, et consorts. Restructurée par Napoléon Bonaparte (***) lors de son incursion dans le pays puis sous la direction du British Foreign Office, la franc-maçonnerie dans sa version  égyptienne (Lien) dominait la scène politique au Caire et allait façonner l'avenir du pays à travers des reformes politiques qui enfantèrent l'état en déliquescence avancée, l'impuissance militaire et la stérilité scientifique de la nation. Facilitant l'offensive généralisée extérieure contre ses fondements culturels, religieux, et son développement économique, la franc-maçonnerie contribua à l'instauration de cette situation pourrie dans le pays. L'Égypte dégénéra en une nation réduite à la mendicité, voir un récipient de la "charité" internationale ou aide financière usurière. Cette situation empira de manière significative après que furent dilapidées ses ressources humaines et économiques sous les coups de boutoir du socialisme talmude instauré par l'orateur-démagogue Nasser. Ce dernier sera le futur mentor de notre apôtre de la révolution Boukharouba, qui s'avérera un excellent élève de l'école de l'art de la déception politique et du discours mensonger. 
Dans son traité "Communism : A jewish Talmudic Concept - Know Your Enemy", 
Willie Martin écrit :
«La première Internationale communiste: Elle a eu lieu à Francfort en 1847 et a été présidée par nul autre que Lionel de Rothschild {Rothschild en allemand signifie "Red Shield"} et un autre brigand notoire, Karl Marx! Lors de la réunion, une branche des Illuminati, "La Ligue des Justes ", délégua Marx pour écrire le "Manifeste du Parti communiste", qu'il rédigera et publiera l'année suivante, 1848
Le soutien et la circulation les plus larges ont été accordés au "Manifeste du Parti communiste" par la franc-maçonnerie dans le monde entier ... Pensez-y ! »
Sous différents angles, l'offensive juive prit la forme d'autres idéologies libellées "nationalisme arabe",  "renaissance" (Nahda wahhabite) et "révolution populaire", toutes à résonance marxiste, et qui furent disséminées et exaltées pour miner d'abord les convictions d'intellectuels en panne d'idées, puis à un stade ultime, la foi de la majorité de la masse apathique. Population qui vivotait, parce que perdue, désorientée, et accablée par les carences d'un empire décadent laminé par la régression économique, politique et sociale.
Notons, et pour rester dans le contexte de l'Algérie, que la colonisation d'abord dirigée par le pouvoir de l'ombre de Paris et organisée par les forces occultes maçonniques, jugea le réveil du nationalisme inévitable, et s'appliqua opportunément à infiltrer les mouvements politiques qui allaient ultérieurement militer pour l'indépendance nationale. Lors de l'incursion en 1830, la juiverie (**) de France avait déjà imposé sa présence, mais avait failli dans son objectif de contrôler et détourner le pays loin de ses constantes premières, de ses valeurs nationales, traditionnelles, culturelles et religieuses. La juiverie prédatrice a donc conçu un nouveau plan subversif. Ce plan consistait en l'utilisation d'algériens éduqués selon les préceptes dictés par la franc-maçonnerie. Ceci après un recrutement-endoctrinement ciblant les écoles et universités françaises qui hébergeaient en Algérie et en France, des "intellectuels". La Sorbonne représentant le miroir aux alouettes idéal et la meilleure vitrine grâce aux Algériens déjà présents (M.Arkoun, Ahmed Benhamouda, etc...). Les filets maçonniques ne tardèrent pas à déborder de poissons ! 
De ces exemples illustrant cette stratégie, Arkoun est mentionné dans des articles antérieurs (Lien, Lien, Lien), aussi je tairais son cas et offrirais comme autre spécimen, Lakhdar Brahimi. Sorbonnard de formation, puis "combattant" (sic) de la lutte pour l'indépendance de 1956 à 1962. Même le "Times of Israél" en fait l'éloge (Lien) : «Brahimi, 78, served as Algeria’s foreign minister from 1991-93 and brought his diplomatic skills and reputation as a tough negotiator to the United Nations in 1994, where he served in a variety of high-profile posts, including as an envoy in Haiti, Afghanistan and Iraq, until he retired in 2005. He is a member of the Elders, a group of world leaders working for global peace that includes Nelson Mandela Notre combattant en pantoufles, est le prototype des révolutionnaires de "l'extérieur" qui ne connurent l'Algérie qu'après l'indépendance (et en firent une vache à traître). Le pillage économique étant une vocation politique que le régime de Boukharouba érigea en système maffieux de gouvernance revêtu de la  démagogie d'un socialisme "spécifique". La preuve que ces "combattant de la liberté" étaient dénués de tout patriotisme se trouve dans leurs choix personnels. Choix traduisant un reniement de leur "algérianité" du fait de l'éducation de leurs enfants, tous "naturalisés" et de citoyenneté étrangère. Les enfants de Brahimi sont américains ! Sa fille a servi en tant que reporter dans la pire des chaînes juives de la planète :  CNN. Un autre fils est un businessman à la renommée internationale et qui a réussi aux USA ! Gratifications à papa pour les services rendus à la Kosher Nostra, et à la tanière de Satan, l'ONU qui en passant il est bon de rappeler, héberge la "LUCI TRUST" (La fondation Lucifer !). Lien, Lien, Lien, etc...   Le thème étant largement documenté, l'apparente "fidélité" à l'organisation aggrave la folie de ces mercenaires. L'audace de la servir si scrupuleusement serait-il motivé par le gain matériel et la gloire ? La situation morale de ces transfuges de l'Islam est donc définitivement déplorable. Sont-ils à plaindre ou méritent-ils cette pénitence? 
Le plus grave est que ces cas ne sont pas isolés. De nombreuses personnalités politiques actuelles sont marquées du sceau des institutions juives les plus malveillantes, exemple de la Banque Mondiale et du FMI ! Le comble de leur impudeur, ils s'affichent sur les plateaux de télévision pour critiquer Bouteflika le nationaliste qui n'a servi qu'une institution, l'Algérie, et dont le principal mérite a été de libérer le pays des griffes des banquiers  ! 
 Pour la suite, je vous réserve des surprises ....


                                                      À Suivre....
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(*) Note :
Le début du règne maçonnique en Algérie :
La Franc Maçonnerie débarque dés 1830 avec les premiers militaires (Lien). Elle a inévitablement et graduellement marqué sa présence parmi différentes catégories d'Algériens, les intellectuels, les administrateurs, les fonctions libérales et même certains "Ulamas". Ces convertis au dogme satanique, n'occupaient que les échelons inférieurs de la hiérarchie des loges, s'y étant introduits uniquement pour des raisons matérielles et pour bénéficier des services "d'entre-aide" qu'elles dispensaient. La longue liste des événements qui retracent l'intrusion maçonnique ne peut être énoncée dans le cadre de ce modeste blog ou dans un message sommaire, et ce n'est pas l'objet de cette communication de détailler les étapes qui ont mené à l'enracinement du culte dans le pays. La documentation est amplement disponible sur internet et devrait être impérativement consultée. Il est regrettable qu'une majorité de chercheurs, par fainéantise, s'en privent. Un personnage célèbre impliqué dans la promotion du culte en France, en Europe et dans les colonies, et ayant joué un rôle malveillant dans la colonisation, est Issac Adolphe Crémieux. Un aperçu de son "oeuvre" (Lien):
«Adolphe Crémieux, est initié à la franc-maçonnerie en 1818, à la loge le "Bienfait anonyme" de Nîmes, du Grand Orient de France, qu'il quitte en 1860 pour rejoindre le Suprême Conseil de France du Rite écossais ancien et accepté dont il devient le Souverain Grand Commandeur. En 1875, Adolphe Crémieux réunit à Lausanne en Suisse, une assemblée des Suprêmes Conseils du REAA pour harmoniser le Rite Ecossais Ancien & Accepté. Ces règles sont toujours en vigueur aujourd'hui notamment à la Grande Loge de France. Véritable acte fondateur de la franc-maçonnerie moderne, cette déclaration de l'assemblée de Lausanne proclame «l'existence d'un Principe Créateur» appelé «Grand Architecte de l'Univers». Par ailleurs c'est Adolphe Crémieux qui fit l'éloge funèbre de son frère et ami l'Abbé Grégoire. Au terme de sa longue carrière politique, Crémieux devint sénateur inamovible d'Alger, de 1875 à sa mort en 1880. Il est enterré au Cimetière du Montparnasse.»
Ou encore (Lien) :
«Crémieux pose, en vain, sa candidature à Chinon puis aux élections complémentaires du 9 juillet 1871, à Alger. Mais, en octobre 1872, il remporte des élections partielles à Alger et siège à gauche sur les bancs de l’Union républicaine. »
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(**) Définition : Représentant un être bipède à morphologie humaine mais possédé par des forces démoniaques qui se régénèrent en absorbant du sang humain à l'occasion du Pourim , de ses rituels cabalistes et de ses festins cannibalistes
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(***) note :
Site "memphismisraim.fr", article 18 :
«En 1798, des officiers de l’armée de Bonaparte, tous membres du Grand Orient de France et disciples du Rite de Narbonne, en mission en Égypte, sont en contact avec des initiés du Soufisme (sic) et des Collèges initiatiques Druzes du Liban. Ils décident de renoncer à la filiation de la Grande Loge d’Angleterre et de créer un nouveau Rite. Ainsi naquit la Loge « Les Disciples de Memphis”, au Caire, suivant la tradition du Rite de Narbonne.»
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  (****) Note :
 Mustapha Kemal est né à Salonique, la ville d'où est originaire le grand père de Sarkozy !
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(*****) Note :  
Soulignons le paradoxe historique du double stratagème de l'autocratie juive britannique qui soutenait le wahhabisme en Arabie contre Istamboul en même temps qu'elle subjuguait l'Islam ailleurs. Cette stratégie signale la connivence et la convergence des dogmes talmude et wahhabite vers un  dessein satanique commun. Complicité née d'une longue collaboration pour promouvoir l'hérésie du Najd couvée par la "United Grand Lodge of England" et ses émissaires dont le célèbre stratège militaire et diplomate, A.Lawrence "d'Arabie".