Translate

Affichage des articles dont le libellé est hémorragie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est hémorragie. Afficher tous les articles

26 oct. 2019

Sabotage économique du pays sous couvert de "salon ou foire des Lycéens- l'étudiants" ! Un abattoir des ressources humaines nationales

Sabotage économique du pays sous couvert de "salon ou foire des Lycéens- l'étudiant" ! Un abattoir des ressources humaines nationales

Le sabotage économique du pays par la Issaba se poursuit, via son système criminel de gestion des ressources humaines.
 Les coûts et les pertes imputés au pays sont monumentaux, inestimables !
Remarque :
Démission préméditée de l'éducation (universités, écoles) devant ses responsabilités car la prise en charge des diplômés est de son ressort, pas celui d'organismes-ambassades-sociétés-banques étrangères !

(salon-du-lyceen-et-de-l-etudiant-algerien-en-novembre-a-alger-et-oran)



Le pillage des ressources humaines se poursuit.
Au prix d'énormes sacrifices l'Algérie forment des cadres diplômés qu'elle livre aux intérêts étrangers et locaux  privés qui organisent des vraies foires du bétail durant lesquelles les meilleurs élèves, étudiants, et diplômés sont triés sur le volet, certains kidnappés par les universités/écoles étrangères grâce à l'attrait de bourses ou d'opportunités de  spécialisation. Un vrai carnage, une hémorragie organisée par des agences privées de communication et d'emplois (l’agence de communication spécialisée dans le marketing RH “The Graduate” a un MONOPOLE sur ces opérations, de quel droit ? ) sous l'oeil indulgent (ou complice) de nos autorités, et l'alibi d'offre d'emplois.
Alors que ces cadres devraient être insérés dans des secteurs prioritaires et stratégiques et participer à des plans de développement publics nationaux, de moyens et long termes.
Exemple de ces étudiants de l'université de Blida (vidéo) 


 
Les média de la désinformation affichent des placards publicitaires pour ces hold up, et parallèlement se lamentent sur l'exode de nos compétences (Algérie360-com déplorait récemment l'exode de 600 000 algériens)
Tous annoncent ces salons, qui en réalité méritent l'appellation de boucheries/abattoirs.
Les média lavigeristes-fafa-sionistes (naturellement),  El-Watan, Liberté-dz, Huffpost, etc, sont les plus enthousiastes à promouvoir le pillage.


El-Watan : "Il est à noter que le salon bénéficie du soutien de l’Association nationale des parents d’élèves (ANPE), de la première université privée algérienne «MDI», du British Council et de l’ambassade de France, à travers Campus France Algérie et France Alumni."

12 avr. 2017

LE MERS ( MINISTÈRE ENSEIGNEMENT SUP) PREND AU SÉRIEUX LE NUMÉRIQUE (sic).

Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique en poste dans ce secteur depuis des décennies attend 2017 pour aborder la question du numérique, et il en fait un projet "d'avenir ". Insouciant de l'urgence, négligeant son importance, sous-estimant le poids des enjeux, et adoptant une attitude désinvolte d'amuseur de foule face à ses interlocuteurs !
On aurait espérer plus de sérieux du mi-sinistre !
Notons le verbiage :"Le défi du numérique", est à la fois, il a expliqué, de «croiser nos expériences sur les problématiques partagées et d'identifier à travers les différentes tables rondes, les actions conjointes à mener pour comprendre les pratiques actuelles et de nous projeter dans le futur pour anticiper l'analyse et la maîtrise des plus grands enjeux de l'enseignement supérieur à l'ère du numérique».
En 30 ans d'activité de haut responsable de l'université, vous allez enfin tenter d'identifier, de comprendre, et de vous projeter vers l'avenir pour les enjeux, et bla bla bla...?  Vous voulez nous faire rire ? Nous n'en n'avons pas l'humeur, Mr le ministre, c'est plutôt l'envie de pleurer qui nous envahit.

Les 25 et 26 janvier 2017, Tahar Hadjar, ministre algérien de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, a effectué une visite de travail en France à l'invitation de son homologue française, Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Entouré d’une délégation de recteurs des universités algériennes, le ministre a co-présidé les travaux de la 4ème conférence algéro-française de l'enseignement supérieur et de la recherche qui avait pour thème les défis du numérique. Le ministre a souligné que la place du numérique dans les universités est "plus que jamais une grande priorité actuelle de l'Algérie", notant que ce défi est "important" et "incontournable" afin de "faire face aux exigences de la modernisation de l'appropriation des outils et stratégies de pilotage de l'enseignement, de la recherche et de la gouvernance mais aussi et surtout pour faire face au défi de la massification". (globalisation ?).
  50 ans de gabegie  et l'enseignement supérieur demeure tributaire de la charité française. 
 Le flux Sud-Nord des diplômés algériens ne soulève aucune réaction, les autorités algériennes  béates s'en vantent et le citent comme performance méritoire . L'hémorragie meurtrière ne soulève aucune contestation ou étude pour y mettre fin, ce qui doit être interprété comme dû à une volonté prémédité de nuire au développement du pays. L'erreur de gestion ou une mauvaise appréciation de cette situation catastrophique sont à exclure.  On peut objectivement avancer l'accusation de sabotage, cet acte organisé ne pouvant provenir que d'un cercle occulte, présent dès l'indépendance dans les rouages de l'administration (universitaire en particulier), ce que j'appelle la judéo-maçonnerie-jésuiterie et dont j'expose amplement la présence dans une multitude d'articles.