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15 août 2013

Algérie : La Face Cachée Et Occulte De L'Histoire Contemporaine .(3em Partie)

Le hold-up militaire opéré par Boukharouba et ses DAF au détriment de la révolution et du peuple avait été pressenti par de nombreuses personnalités de premier plan dont Ferhat Abbas, Benyoucef Benkhedda, Cherif Kheiredine, Mohamed Boudiaf, Mohamed Chaabani, etc...,
De nombreux militants intègres avertirent chacun à sa manière des risques et des dérives de cette usurpation de pouvoir.
Benkhedda dans un discours archivé à l'INA et reproduit sur Youtube :
Or, certains officiers qui ont vécu à l'extérieur n'ont pas connu la guerre révolutionnaire comme leurs frères du maquis. Guerre basée essentiellement sur le peuple et dont l'ALN a été le fer de lance. Le peuple a été l'artisan principal de l'indépendance. Les officiers qui sont restés pendant la durée de la guerre aux frontières tunisiennes et marocaines ont souvent tendance à ne compter que sur la force des armes. Cette conception dangereuse conduit à sous-estimer le rôle du peuple voir à le mépriser et créer le danger de voir naitre une féodalité d'une caste militariste tel qu'il en existe dans certains pays sous-développés notamment en Amérique latine. La révolution n'est pas l’œuvre d'une fraction du peuple mais elle basée sur la mobilisation de tout un peuple. »
Quatorze ans plus tard il déclarait dans le "Manifeste du 10 Mars 1976" (Lien) :
« le pouvoir personnel, aujourd'hui consacré, toutes les institutions nationales et régionales du parti et de l'état se trouvent à la merci d'un seul homme qui confère les responsabilités à sa guise, fait et défait selon une tactique malsaine et improvisée les organismes dirigeants, impose les options et les hommes selon l'humeur du moment, les caprices et le bon plaisir ».«Hélas ce coup d'état n'a rien réglé. Le culte de la personnalité est toujours en honneur. Le pouvoir personnel s'exerce sans contrôle. Il dispose à son gré du destin de notre pays, de nos ressources, du budget. Il impose a nos enfants un système éducatif de son choix. Il nous soumet à une idéologie hostile aux valeurs morales et spirituelles de l'Islam. Cet Islam pour lequel un million et demi d'algériens sont morts.» «Il est seul juge du maintien de la paix ou de la guerre. Le peuple n'est jamais consulté; pas plus d'ailleurs que les responsables algériens, y compris les membres du conseil de la révolution. A notre époque, un tel pouvoir est un anarchisme.»
Réagissant aux accusations lancées par ses détracteurs contre sa gouvernance despotique, Boukharouba ne trouva jamais le moyen d'y répondre dignement, intelligemment, car la justesse des arguments châtiant son pouvoir totalitaire était si manifeste, qu'il ne pouvait en débattre en privé ou publiquement, préférant se réfugier dans la censure et dans la répression brutale d'authentiques patriotes au passé glorieux. Au fur et à mesure qu'il éliminait toute opposition à sa dictature, son art de la perfidie et sa fourberie lui dictèrent de changer de personnage, en se construisant une nouvelle image au sens propre et figuré du terme. Les manipulations d'esthéticiens experts et les collections de couturiers renommés furent nécessaires pour transformer progressivement le rustre colonel en un président imposant et tiré aux quatre épingles. Sa quête de l'adoration du peuple atteignait enfin son but, aidée en celà par son verbiage populiste et démagogue qui martelait la populace embarquée dans des hystéries collectives et des galas politiques, après avoir été rassemblée, manu militari des heures durant, sur les places des meetings ou le long des trottoirs espérant le passage du Rais !  
Un système digne héritier des régimes antiques romains ou pharaoniques mais aux contours apparents d'un 20-èm siècle !
Ce dernier parvint à effacer de la mémoire collective la popularité de Ben Bella.
Pour perpétuer l'autocratie imposée à un peuple aux repères dévastés par la longue nuit coloniale, des plans de développement "horizon 70" furent élaborés pour entretenir l'espoir, fut-il mensonger. La "ligne qu'on atteint jamais" étant la carotte tendue à l'âne trottant docilement, pendant que le bâton de la SM veillait sur la bête en cas d'indiscipline !
Un monde d'illusions, de mythes et d'utopies fut bâti en abusant de la naïveté et de l'ignorance du peuple.
"Président de la république", "secrétaire général du parti", "ministre de la défense", "grand héro de la révolution", "prodigieux idéologue du socialisme spécifique", "leader du tiers monde et des pays non-alignés", "combattant suprême contre l'impérialiste", "avocat du nouvel ordre économique mondial", "porte voix des opprimés et des colonisés", etc... S'allongeait de jour en jour la longue liste de titres et d'honneurs dont ne taraient les média, même internationaux et d'allégeance juive sioniste sponsorisor du nouveau champion du marxisme d'essence talmudique. En poursuivant sa mission d'instauration d'une société communiste basé sur la création d'un " nouvel homme " (Errajoul El-djadid), l'agent des loges de Paris s'engageait dans une série de reformes embrassant tous les secteurs d'activité du pays dans le but de détruire les fondements séculaires, sociologiques-culturels-économiques-spirituels-religieux. Le même projet qu'avait entrepris Attaturk en Turquie, mais de manière plus subtile et discrète, fut mis en chantier pour mettre à genoux un peuple résigné, abruti par le travail de sape psychologique élaboré dans les laboratoires marxistes juifs. 
Contraindre les jeunes algériennes à parader en robe courbe (photo) devant les délégations étrangères à l'occasion de son 19 Juin ou du 5 juillet, dans un acte d'humiliation des Algériens. Décence que même la brutale force du colonialisme français n'aurait jamais osé enfreindre. 
Des Algériennes agressées dans leur honneur et dignité contraintes de s'exhiber devant la foule et les délégations étrangères, à la gloire du Rais !
Parallèlement, était créée une oligarchie axée autour des cercles des compagnons (franc-maçonnerie) et des comparses soutenant la dictature et bénéficiant de privilèges exclusifs économiques, sociaux, et politiques. Le partage des richesses s'effectuant au profit du "pouvoir" de la caste : les militaires (DAF et les recrues de l'Est algérien), les "révolutionnaires" du Parti, et les alliés intéressés de Boukharouba. L'occupation de postes de responsabilité dans l'administration du pays constituant une autre porte d'entrée aux prédateurs qui accouraient pour servir le "Père des Algériens" et bénéficier des fastes réservés à la nomenklatura. Nombres de fortunes actuelles ont pour origine cette période opaque de pillage économique, de fraude politique, d'abus de pouvoir, et de manipulation massive de la population.
Au peuple, le tyran distribue des promesses d'une vie meilleure ici bas, et un ventre plein une fois dans l'au delà (déclaration blasphèmeuse à la conférence islamique de Karachi; formule répétée dans un article du Le Monde sous la plume de Paul Balta) !
Des mesures dictatoriales sont décrétées pour atteindre les "objectifs" assignées à la révolution selon les visions cauchemardesques du tyran :
-L'austérité économique est instaurée pour mieux astreindre le peuple à des activités avilissantes et les contraindre à investir leur temps et leurs énergies dans la recherche de solutions à la pénurie et à l'abstinence.
Dans la semaine qui suivit le "redressement révolutionnaire"(1965), les produits de large consommation importés avaient disparu des étalages. La pénurie affectait tous les secteurs, la santé, l'éducation, le sport, l'alimentation, l'habillement, l'hygiène, le bâtiment, le transport. La misère administrée et gérée par le socialisme planait sur le pays; la disette était suspendue périodiquement au gré des campagnes de "satisfaction des besoins de la population", ceci afin d'éviter tout saut d'humeur populaire qui menacerait le trône du potentat. Au grand mépris du peuple, le raffinement extravagant qui avait saisi le despote lui accordait le privilège d'importer des "Habanas" avec lesquels il narguait ses audiences et pouffait la fumée au visage de ses interlocuteurs.
Le peuple, crédule naïf et innocent, fut embrigadé dans un système stalinien qui ne nécessitait pas, pour perdurer, des mesures draconiennes répressives semblables à celles introduites en Russie par les bolcheviks talmudes. Ces derniers avaient à confronter une société organisée autour d'une église structurée et des patriotes éduqués, ce qui nécessita des mesures radicales génocidaires où les opposants russes furent liquidés physiquement, par millions!.(Lien, Lien, Lien, Éduquez-vous !, Éduquez-vous !.......). Ce volet de l'histoire du marxisme-communisme est complètement occulté des manuels d'histoire, raison pour laquelle des idiots utiles du Nouvel Ordre Mondial juif persistent à militer pour un modèle de développement communiste. Des crétins gâteux se réclamant de cette idéologie ne se sont toujours pas relevés des campagnes de "vaccination socialiste" massive et d'intoxication marxiste, que l'édition, la presse et l'éducation dispensaient dans ce pays.
Le déferlement marxiste sur le plan idéologique et culturel fut accompagné de mesures économiques et politiques qui bouleversèrent l'organisation et le fonctionnement de toutes les activités du pays, encouragèrent des comportements irrationnels, incontrôlés, irresponsables et la démobilisation générale. Un bilan plus détaillé sera présenté schématiquement dans un article ultérieur qui sera réservé au recensement des méfaits causés par la gouvernance de Boukharouba et sa cabale d'ennemis de l'Algérie. Ennemis animés essentiellement par une cupidité insatiable et agissant au service d'intérêts allochtones étrangers. La Franc maçonnerie dominée par la juiverie internationale représentant le fer de lance de l'offensive conçue et dirigée par les "enfants de Satan" ! Les carences et les insuffisances qu'éprouvent aujourd'hui le pays et la société sont le résultat de cette dictature à laquelle Allah Miséricordieux n'a heureusement accordée que 18 ans d'existence officielle (1962-1980). Le "système" que les observateurs fustigent n'est pas celui qu'ils devraient désigner comme responsable. Le "DRS et les généraux", le "clan d'Oujda", 'le clan Bouteflika", sont des boucs émissaires que la Franc maçonnerie a intérêt à utiliser comme subterfuge, comme mythes 
délusoires et détourner l'opinion du pouvoir de l'ombre affilié au culte de Satan. Cette secte de Satan et du culte du "grand architecte" a enregistré une avancée certaine au point où certains édifices publiques ont été marqués par ses symboles et la toile" ne manque pas de le dévoiler à travers des blogs et des forum qui en "s'éduquant" découvre l'étendue de la présence du culte satanique (Lien, Lien, Lien). 
La Tour SONATRACH, Bentalha, Hotel Hilton, Hubble, la tête de taureau sur les billets de 100DA, le prosélytisme arrogant des Rotary-Lyons (1), etc..., confirment la présence dans les hautes sphères du pouvoir d'adeptes aguerris du culte. L'Algérie menacée par les méfaits de la franc-maçonnerie est le résultat du travail accompli par le Cheval de Troie Boukharouba et l'instauration de son option politique communiste, fruit du matérialisme abject et satanique du talmude, codifié dans l'idéologie marxiste .
Le travail subversif du rais a été récompensé par la réputation et le prestige que lui réservent l'histoire officielle et les nombreux complices de son règne. Les ministres et les membres de sa diplomatie d'alors louent ses qualités de "rajjal", "homme" qui ironiquement, se fit épinglé par ses maîtres qui lui désignèrent comme épouse "Anissa", une Esther ou taupe talmude qui n'a pas eu le temps de causer trop de tord  !
Le plus grave dans le parcours de notre adepte du culte de Satan après initiation au Caire, est le développement dans la personnalité de l'adorateur du "Grand architecte" d'un narcissisme mégalomaniaque et exubérant qu'il révèle dans maintes interviews accordés à ses porte voix. Paul Balta (Le Monde) étant un grand confident du Rais, il nous a légué l'enregistrement de scènes de narcissisme baignant dans l'indécence et l'auto congratulation, dans des documents disponibles sur youtube. Des auteurs, des historiens, des pauvres citoyens au cerveau lessivé, lui dédient toujours des oraisons funèbres d'adulateurs, entretenant le mythe du plus grand forfait historique enregistré en Algérie depuis la nuit des temps. Chems-Eddine Chitour (Lien) lui accorde un panégyrique humiliant qui insulte la mémoire des témoins et victimes de la dictature, et démontre le pouvoir de l'endoctrinement exercé envers la population dans son ensemble, et en particulier envers nombre d'intellectuels parmi lesquels ceux supposés rompus aux complexités des sciences exactes mais qui sombrent dans la folie et dans le délire une fois confrontés à l'observation de phénomènes humains. Preuve qu'on ne peut  maîtriser tous les savoirs et que les ingénieurs qui s'aventurent imprudemment dans l'analyse politique s'exposent souvent au ridicule par leur contorsion cérébrale et leur verbiage. Un article sera dédié  à Chitour et à sa séance de lèche bottes qu'il offre à titre posthume dans un article re-posté sur "alterinfo.com".

Pour résumer mon article présent, j'affirme que
Boukharouba a été la pièce maîtresse de la prise de pouvoir maçonnique en Algérie. Les séquelles de son règne résident dans toutes les carences qui frappent le pays, le pouvoir de l'ombre en étant l'instigateur en vue uniquement de satisfaire ses convoitises et asseoir sa domination. Gardons en mémoire que le culte maçonnique prêche à ses adeptes le suprématisme social, à savoir qu'à l'image des juifs "Élus de Dieu", les "très chers frères" sont convaincus qu'ils représentent une classe d'élites prédestinée à gouverner la populace et à jouir de tous les privilèges et droits qu'ils usurpent au reste des "tubes digestifs". Le pillage des richesses  et des biens collectifs ne sont qu'un volet des passe-droits que leur accorde le "Grand architecte". Par leur affiliation et soumission à la hiérarchie maçonnique internationale (juive) ils sont une épée plantée dans le cœur de la nation et du peuple et n'ont aucune allégeance et pas un grain de nationalisme envers leur pays. La "liberté-égalité-fraternité" est un slogan et un aphorisme qu'ils cultivent publiquement mais en réservent la pratique à eux seuls et jamais au "bétail", voué à l'esclavage. Dans ce chapitre et pour illustrer cette affirmation il faut savoir que le "service national" consistant en la conscription des jeune algériens sous l'autorité de l'ANP,  et naturellement des DAFs qui l'ont conçu, n'a jamais eu pour objectif la construction du pays ou son développement, mais l'instauration d'une couveuse d'esclaves où était dispensés, la brimade, l'insulte, le mépris et l'humiliation dans le but d'accoutumer des générations "d'appelés"  à la servitude et à l'obéissance, à la crainte et à l'effroi, et bien sûr en la vénération de l'autocrate au commande, dans ce cas Boukharouba.
Selon une stratégie identique, une autre catégorie de jeunes est en gestation, celle des surdoués de l'école et de l'université qui doivent succéder aux papas-et-mamans de la franc maçonnerie ou simplement gonfler les rangs des loges. Des milliers d'innocents étudiants et diplômés au grand mérite intellectuel et académique sont la proie d'une manipulation purement démoniaque consistant en l'initiation feutrée aux concepts de la franc maçonnerie dont une des plus perverses intrusions psychiques est l'élitisme, soit le sentiment d'appartenir à une caste spéciale, celle des "futurs dirigeants" et du "gratin de la société". Ce qui les noie dans l'arrogance et leur fait adopter des airs hautains et méprisants. C'est l'attitude typique de Satan transcrite dans la phrase "Ana kheiroun minhou".  Ces futurs petits démons recrutés par les grandes écoles et les instituts "d’excellence" traitant de préférence du marketing-Kabalah, auront définitivement acquis un caractère démoniaque et développé une affinité-relation avec le "pouvoir occulte". Un séjour en France ou au Canada présente une étape décisive et avantageuse pour la promotion sociale et l'ascension dans les "degrés" des loges.
Le système mis en place mérite définitivement le qualificatif de satanique car fonctionnant selon un mode subversif qui est d'ailleurs défini en détail dans les "Protocoles de Sion".
Notons que tout service rendu à Satan, le "grand architecte" vénéré par le culte, est récompensé par l'octroi de gratifications matérielles illimitées et pour certains hauts dignitaires de la secte, une consécration honorifique, où la gloire et l’immortalité sont inscrites. Une autre forme de gratitude de Satan à ses plus studieux enfants, consiste en l'envoi symbolique d'un trône (sous forme d'un grand fauteuil blanc), installé par un groupe "d'illuminés" affranchis aux règles des cérémonies maçonniques sataniques et qui est offert à un membre promu à un degré supérieur, (certainement une "grande maîtrise").
Dans la scène du documentaire enregistré lors du fameux "discours à l'ONU", qui montre Boukharouba pénétrant dans la salle de conférence,  Kurt Waldheim (grand maître) et les hauts responsables de l'ONU (siège de la LUCIE-Trust, le "fond" de Lucifer) accompagne le nouveau promu et l'invitent à s'asseoir sur le trône du Grand architecte (le fauteuil blanc). 


Ceci n'est qu'une l'illustration des pratiques occultes opaques de la secte, et la preuve de la nature réelle de cette conférence-cérémonie maçonnique, et ceci devant une audience complice majoritairement adepte du culte !!
Dans un article en préparation, le règne de Boukharouba sera disséqué plus en détail par secteur d'activité et son œuvre dévastatrice mise à nu. Le préjudice porté au pays par ses décisions irréfléchies et sa politique insouciante et mensongère sera plus évident après une revue de son "programme" politique.  
Un trait dominant ce phénomène de l'histoire d'Algérie est le degré de perfidie atteint par le régime "Boukharouba" qui est parvenu à convertir la trahison en acte de dévouement à la nation. L'ascendance latente de ce pouvoir sur l'opinion illustre le degré de nocivité de la propagande et de la manipulation exercées contre l'individu et les masses, spécialement en étant entretenues périodiquement (Chitour !).  Un enseignement tiré de ce paradigme est que le mensonge et l'oxymore sont des outils exploités adroitement par la franc maçonnerie qui réussit à falsifier la réalité et à aliéner l'opinion. 
Comme l'affirmait Boudiaf questionné sur son éventuel retour en Algérie et sa candidature à la magistrature suprême du pays : «Je ne souhaite pas diriger un peuple qui a pleuré l'homme qui l'a tenu sous ses bottes pendant 15 ans !»
Que des personnes intéressées le défendent au titre d'anciens collaborateurs de sa tyrannie est concevable, mais que des gens, sans affinités avec son régime, le glorifient toujours est inadmissible et signalerait leur active participation à l'omerta entourant le complot criminel.
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(1)Note:«Au Caire les maçons se retrouvent discrètement sous le couvert du Rotary ; les frères algériens ou d’autres pays arabes ne peuvent assister à des tenues (réunions secrètes) qu’en France ou dans le reste de l’Europe.»
(source : http://www.grandorientarabe.org/) !!
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