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24 juil. 2016

Ex-Général Benhadid est dans le pétrin ! Le pouvoir de l'ombre tente d'en faire une victime ! Le stratagème de la Victimisation ! Ça rappelle une autre nébuleuse versée dans cette astuce de la pleurniche ?



 En 2004, le général en retraite avait dans une longue déclaration divulgué des informations confidentielles, sur les fonctionnements internes et les relations entre différentes structures de l'ANP. Il en était sorti indemne !
En 2014 et ultérieurement, il réitère la même infraction, en dévoilant des infos encore plus sensibles, que sa fonction d'officier lui avait permis d'acquérir !
Il a rompu ses engagements professionnels envers le pays, mais a la chance de trouver en Bouteflika un homme clément ! En accord avec son ingratitude et son arrogance l'opposition se lève et renverse l'affaire dans laquelle le délinquant Benhadid est métamorphosé en victime, victime de Said Bouteflika et d'un clan mythique ! On occulte les conséquences dangereuses de ses révélations ! Le criminel est blanchi et devient victime, la technique de la victimisation développée par les maitres de l'intox et de la subversion (les média sionistes) est appliquée à la lettre et propagée, enveloppée du leurre et subterfuge de la
"liberté d'expression"  !  Complicité collective des media, des avocats, des partis politiques et leurs dirigeants (de l'opposition), des officiers de l'ANP en retraite (le camp Toufik), etc... Une conspiration à grande échelle, avec des ramifications Paris-Sionnistes !

LIENS UTILES :
---> algeria-watch.org-anp_presidence 1/benhadid
---> algeria-watch-presidentielles 2/benhadid_itv.htm
---> dans ce blog Lien.



Texte à lire et étudier, les déclarations de Benhadid dans un article d'El Watan intitulé :

Hocine Benhadid : «Bouteflika doit partir dignement et Gaïd-Salah n’est pas crédible»

El Watan, 12 février 2014

Sec et nerveux, l’ex-général Hocine Benhadid – ancien commandant de la mythique 8e Division blindée et un des rares généraux à avoir démissionné (à 52 ans en 1996) – ne cache pas son exacerbation face à ce qu’il qualifie de «situation dangereuse». Il parle ici après dix ans de silence.(2004, et son soutien à Benflis)
 
- Quelle est votre lecture des récentes attaques du secrétaire général du FLN, Amar Saadani, contre le DRS et son patron, le général de corps d’armée Mohamed Médiène ?

D’abord, je tiens à préciser que mes frères d’armes m’ont demandé de parler parce que l’on ne peut pas laisser durer une telle situation. Pour revenir à votre question, Saadani n’a aucun pouvoir ni l’audace de parler seul, car il reçoit des ordres de certains. Il était difficile pour la Présidence d’affronter directement le DRS. Le Président n’a pas l’audace de s’attaquer frontalement à ce service, il a donc, lui ou son entourage, employé d’autres moyens, dont Amar Saadani. Le DRS a toujours été ciblé par la Présidence pour l’affaiblir, cela dure depuis l’arrivée de Bouteflika au pouvoir. Le DRS est une institution militaire et l’armée est l’ultime protecteur du pays. Si on porte atteinte à l’armée, le pays est en danger. C’est donc une trahison. Les attaques de Saadani sont une trahison. Et la cour de Bouteflika est aussi coupable de trahison. Ce clan joue avec le destin de l’Algérie. Bouteflika est otage de son entourage, il n’est conscient qu’une demi-heure ou une heure par jour. J’ajoute qu’une personne malade ne peut garantir la stabilité. Cette stabilité, il faut le rappeler, a été instaurée depuis l’ère Zeroual qui a commencé par la loi de la rahma. D’ailleurs, la stabilité n’est pas le fait d’un seul homme, elle émane des institutions.

- Des noms, pour préciser quel groupe à la Présidence vous visez…

Le premier et principal acteur est bien sûr le frère du Président, Saïd.

- Le frère cadet est-il aussi important ?

C’est Saïd Bouteflika qui gère le pays et donc son seul adversaire est le DRS. Tout le monde est à plat ventre devant Saïd, les ministres, les walis, la police, les hauts responsables… Il gère via le téléphone de la Présidence, donc les gens obéissent. Et dans l’armée, Gaïd-Salah est avec lui. Mais je précise qu’il ne s’agit que de Gaïd-Salah en tant qu’individu – pas l’armée entière en tant qu’institution – qui est le soutien de Saïd.

- Pourquoi le clan présidentiel veut-il affaiblir le DRS ?

La première raison est d’ouvrir la voie au quatrième mandat en affaiblissant tous ses adversaires. La deuxième raison est que ce clan veut sauver sa peau, car la corruption a atteint des niveaux dangereux. Ils ne veulent pas rendre de comptes à l’avenir. C’est une question de survie pour eux, une manière de se protéger encore pendant cinq ans avant de trouver une autre solution. Mais ce quatrième mandat est impossible, car si le Président peut mener une campagne par procuration, comment va t-il prêter serment (car il serait «élu» par les appareils et l’administration, dans ce cas-là, on le sait) ? Bouteflika ne peut ni parler ni se mettre debout. Ce serait un scandale vis-à-vis de l’opinion nationale et internationale. L’Algérie serait la risée des nations. Ses proches veulent trouver une «astuce» pour qu’il puisse le faire, mais il n’y a rien à faire ! Personnellement, je ne crois pas que Bouteflika veuille d’un quatrième mandat, ce sont ses proches qui n’arrêtent pas de jouer du bendir. Il n’y a que certains ministres et appareils qui font dans l’à-plat-ventrisme. Ils veulent affaiblir le DRS, aussi, car il est question d’enquêtes sur des dossiers très lourds, des milliards de dollars. Et c’est le frère du Président lui-même qui est éclaboussé par ces scandales.

- Le DRS est-il réellement un obstacle au quatrième mandat ou est-ce la neutralité apparente de ce service qui exaspère le clan présidentiel ?

Le DRS n’intervient pas dans ces questions, ce service donne son avis seulement. Le DRS ne va pas dire à Bouteflika «non au quatrième mandat», il peut lui dire : «Il est préférable, Monsieur le Président, que vous vous retiriez.» Le DRS ne va pas obliger Bouteflika à ne pas aller vers un nouveau mandat. C’est la discipline et l’éducation militaire qui interdisent de s’adresser au Président en ces termes ; je rappelle que Toufik est militaire comme l’a été Bouteflika. Ce dernier est ministre de la Défense, Toufik ne peut pas se permettre de lui interdire de se représenter, il peut juste lui suggérer qu’il serait préférable, pour l’Algérie, d’abandonner l’option du quatrième mandat vu sa maladie. Pas plus. Ce qui fait bouger les proches du Président est qu’ils ont peur de rendre des comptes. Or, l’heure de rendre des comptes viendra, après un an ou après dix ans.

- Que pensez-vous des changements opérés au sein du DRS en septembre ?

Il n’y a eu aucun changement ! La DCSA est depuis longtemps rattachée à l’état-major, cette direction envoie des rapports à Toufik et aussi à l’état-major. Du temps de Lakehal Ayat, la DCSA était chapeautée par la Sécurité militaire ; c’est Khaled Nezzar, en tant que chef d’état-major, qui l’a rattaché à l’EM. Les officiers du renseignement sont très solidaires, leur esprit de corps est très puissant, on ne peut les séparer ou les diviser.

- Qu’en est-il alors de la suppression de la direction de la police judiciaire du DRS, qui a enquêté sur les grands scandales de corruption ?

Ce n’est pas important. En plus, tous ces dossiers d’enquête sont chez les officiers du renseignement. Ils n’ont plus besoin d’autres dossiers. Ces «changements» sont présentés par le clan comme un affaiblissement du DRS, mais le Président ne peut rien contre ce service. Toufik, malgré son âge et le temps qu’il a passé à la tête du DRS, est le dernier rempart de l’Algérie, sinon le pays sombrera. Toufik a laissé faire, il ne s’est pas opposé à Bouteflika durant ces quinze années parce que ce n’est pas son rôle de s’opposer au Président.

- Cette tension n’est pas seulement entre la Présidence et le DRS, mais aussi entre le chef d’état-major et le DRS…

Ne l’appelez plus «chef d’état-major» ! Depuis quand a-t-on vu un chef d’état-major nommé vice-ministre ?! Le chef d’état-major n’a aucune crédibilité et personne dans l’armée ne le porte dans son cœur. Ils ont juste peur de lui à cause de ses prérogatives. C’est tout. Toufik n’a aucun motif de discorde avec Gaïd-Salah, mais c’est ce dernier qui provoque le chef du DRS. Gaïd-Salah ne peut absolument rien contre Toufik. Il n’en a ni les capacités ni l’envergure. Toufik est très malin !

- Bouteflika veut-il mettre le général Toufik à la retraite ?

La volonté y est, du moins. En est-il capable avec son état de santé ? Une telle décision n’est pas facile à prendre car elle peut créer des remous dans l’armée, des divisions entre pro et anti-Bouteflika, pro et anti-Toufik… Si le Président avait procédé à la mise à la retraite de Toufik avant toute cette tension ou après la Présidentielle, ça aurait pu passer. Mais là, ce serait interprété comme une vengeance personnelle, le résultat d’une rancune.

- La cohésion de l’armée est-elle donc menacée ?

Non. L’armée est solidaire, l’esprit de corps est très fort. Ecoutez : nous avons enterré jeudi dernier un officier – général – de mon ancienne unité que j’ai longtemps commandée, la 8e Division blindée (ex-brigade) : tous les officiers de la «8» étaient là, malgré l’âge et l’éloignement. Bon, Gaïd-Salah n’a pas assisté ! Pourtant, c’était un général que l’on enterrait. C’est une honte. Il a préféré être à l’enterrement d’un lieutenant-colonel où il y avait Saïd Bouteflika.

Y a-t-il mésentente entre la majorité de l’armée et son chef d’état-major ?

Mais il y a la discipline : on ne peut refuser ses ordres, même si on n’est pas d’accord. Pour ce qui est de la chose politique ou des décisions qui pourraient déstabiliser le pays, la majorité ne marchera pas avec Gaïd-Salah. D’ailleurs, Gaïd-Salah quittera son poste, quatrième mandat ou pas. Parce que Bouteflika l’a instrumentalisé puis va s’en débarrasser. Comme il le fera avec Sellal.

- Quelle sera la réaction du DRS ?

Le DRS s’en tient au silence et laisse faire. Pour les «services», ce qui se passe est un non-événement. Et connaissant Toufik, il reste très serein, il sait qu’il s’agit d’une campagne passagère. Il est difficile à déstabiliser.

- Des informations parlent de l’arrestation du général Hassan, patron de l’antiterrorisme au DRS et proche de Médiène…

Cela vient du chef d’état-major qui veut provoquer, remuer les choses et faire du bruit. Mais ça n’a aucune conséquence. Rien.

- Comment voyez-vous cette Présidentielle ?

Personnellement, je crois que la Présidentielle sera reportée à cause de la maladie de Bouteflika…

- Mais il y a des délais constitutionnels…

Qui va les faire respecter ? Qui va assurer un intérim ? Bensalah n’aurait pas le droit de le faire. Ils ne vont pas le laisser, l’armée et d’autres. Peut-être que ses origines vont poser problème.

- Quelle serait la solution à ces tensions ?

Voilà ce que je demande au président Bouteflika : il est venu avec le slogan «îzza et karama» (la dignité), alors qu’il se retire avec «îzza et karama», dignement, et laisse l’Algérie reprendre son souffle. Je ne lui demande pas de quitter, mais juste de se retirer dignement. Qu’il sorte par la grande porte. Car cinq ans de plus avec lui seraient un danger pour le pays.

«Aucun parallèle avec la crise de 1998» :

Cette crise et ces tensions rappellent-elles au général Benhadid, proche de Liamine Zeroual, la crise de 1998, quand une partie de l’armée et des services faisaient la guerre à la Présidence ? «Non», répond-il. «C’est un autre cas de figure, une lutte d’un autre genre, un conflit qui remontait au duel Nezzar-Beloucif. Beloucif avait été nommé chef d’état-major par Chadli qui lui était proche, il fallait donc le dégommer et ils lui ont créé des problèmes au point qu’il a été emprisonné.

Puis c’est Khaled Nezzar qui a été nommé chef d’état-major (en empêchant le général le plus apte, Kamal Abderrahim, d’accéder à ce poste) et ministre de la Défense nationale par la suite, en 1990, sous le parrainage de Larbi Belkheir. Les officiers supérieurs d’alors – Hadjeres, Attaïlia, Betchine, Abdelmadjid Cherif, etc. – ont été dégommés par Nezzar. En 1993, pour calmer la scène politique et apaiser certains hauts officiers qui étaient hostiles à la situation dans l’armée, on a installé Liamine Zeroual comme ministre de la Défense nationale.

Ce dernier était respecté au sein de l’armée. Et à la fin du mandat du HCE, fin 1993, le président de cette instance, le regretté Ali Kafi, qui était aussi président de l’Organisation nationale des moudjahidine avec un solide réseau, a tout fait, lors de la Conférence de dialogue national (janvier 1994), afin de désigner Zeroual chef de l’État. Kafi voulait couper l’herbe sous le pied de clans qui voulaient imposer quelqu’un d’autre à la place de Zeroual. Il en résulta que les autres clans avaient de la haine : ‘Pourquoi Zeroual et pas nous !’ Ils ont continué à jouer en coulisses contre Zeroual, et comme ils savaient que ce dernier avait le général Betchine comme ami, ce sont eux qui ont proposé à Zeroual de le ramener à ses côtés.

C’était un piège. Il s’ensuivit les affaires contre Betchine pour affaiblir Zeroual, et ce dernier a quitté le pouvoir car il avait à faire face à une situation compliquée. Il s’est retrouvé pris dans les solides fils d’une toile d’araignée.»


Signé : Adlène Meddi
 (un binational travaillant en équipe avec l'espionne Mélanie Matarese, d'El-Watan)

21 avr. 2014

Chroniques Burlesques De L'Opposition, À La Lumière Des Prouesses Grotesques De La Démocratie US !

Des citoyens ont appelé à partir des rédactions de quotidiens, les autorités US à agir en faveur de la démocratie. Plein de requêtes sont arrivées au secrétariat de l'ambassade, saturant les services administratifs. Les SOS sont l'objet principal qui est relevé sur les demandes. Harassée, l'Ambassade a répondu en priant les personnes en danger de s'adresser aux pompiers !
Comment expliquer cette ferveur religieuse, cette adoption de Washington comme "Qibla", par les opprimés et les démocrates faussaires ?
La raison est que les USA sont une grande puissance économique et une démocratie exemplaire (sic), ils produisent des droits humains en excès de leurs besoins. Ils exportent donc bénévolement leur surplus de démocratie, de défense des droits, de liberté d'expression !  Ils exportent également les trop pleins d'affection que le gouvernement prodige à ces citoyens (sic), affection expédiée au reste du Monde dans les sacs à dos de ses soldats !
Tonton Sam sacrifie même ses enfants (la chair à canon Goyim) pour acheminer ses bons sentiments partout dans le monde.
Une masseuse de l'armée US dispense avec compassion des soins à des handicapés Irakiens !
Comme le rapporte les chroniques des 20-21em siècles, l'Oncle Sam a envoyé des bateaux et des avions plein de comprimés et de gélules " Saint Valentin",  au Vietnam, en Irak, en Afghanistan, en Somalie. Les gens dans ces pays étaient si heureux de découvrir les bienfaits de la liberté, qu'ils en ont hélas abusés ! Les victimes de "surdose" se comptent par millions !
Capsules "Saint Valentin" généreusement distribuées en Irak !
On se doit de mentionner certains de nos compatriotes débordant d'amour pour leur pays mais ont été contraints de s'exiler et offrir leurs compétences aux pauvres pays avancés. Parmi eux des experts de haut niveau apportent leur savoir et leurs efforts à l'industrie des droits humains. Certains sont très demandés dans les domaines sensibles de production des fameuses capsules Saint Valentin. Des scientifiques de hauts niveau, "usés" par la bureaucratie algérienne, ont opté pour la gloire et participent généreusement à la recherche, au développement, et la production de magnifique gadgets électronique; le laser, la robotique, l'industrie spatiale, les armes de destruction massive, etc...
Une grande source de fierté pour l'Algérie nos savants émigrés aux USA !

Comme la CIA chapeaute toutes les structures militaires US, et les centres de recherche dont les applications sont capitales pour l'industrie de l'armement on peut être ré-assurés sur l'attention qu'elle porte à nos brillants ex-concitoyens.
À ce propos on appelle les USA "Oncle Sam", pour l'affection qu'ils réservent au reste de l'humanité. Car nous sommes dans leur jargon "leurs kids", leurs enfants chéris, leurs neveux bien aimés !

4 avr. 2014

Algérie : Les Masques D'Anciens Hauts Responsables Tombent Un À Un, Leur Trahison À La Nation S'Étale Publiquement !

Un bref survol de la controverse :
 Ali Benouari (*) puis Mohand Tahar Yala, s'inscrivent dans les annales de l'histoire de l'Algérie moderne comme deux individus sans scrupules rendus coupables de haute trahison !
Adresser une lettre à une autorité étrangère en lui accordant le rôle de juge dans les affaires du pays et demander de sa part des sanctions contre le président élu, est le paroxysme de la trahison tacite sinon l'intention d''exposer la nation au ridicule.
 Pourquoi ce clan de militaires en retraite et de ministres expatriés, que le devoir de réserve aurait du restreindre dans leurs critiques de Bouteflika fondées ou non fondées soient-elles, aient décidé de sortir de leur tanière pour dévoiler des informations nuisibles aux intérêts nationaux sinon à son prestige. Puisque ces algériens restés dans l'ombre jusqu'à présent sont venus à nous, allons les accueillir ! 
Les généraux de carrière Lamine Zeroual, Hocine Benhadid (Lien, Lien), Mohand Tahar Yala (s’exhibe même sur la chaine renégate Al Magharibia), le colonel Ahmed Bencherif  se découvrent des âmes de démocrates et s'attaquent à Bouteflika en rendant publique certaines manigances internes de l'ANP.

On la savait minée par les conflits de personne et d'intérêts, situation léguée par le régime qui prit le pouvoir dès 1962, à savoir l'armée des frontières et les DAF ramenés dans la valise de Boukharouba, mais quand à se servir de l'ANP et de la sécurité nationale comme tremplin médiatique et s'adresser à John Kerry pour mendier son aide, la barrière de la décence a été franchie ! L'institution a toujours développé une culture où le clanisme et le régionalisme ont primé sur le professionnalisme ! Dues à l'emprise d'inaptes DAF sur l'ANP,  les carences ont mis en danger la survie du pays, pendant des décennies. La rémanence  de l'Algérie est redevable de l'engagement et au sacrifice des sous officiers et djounouds qui accomplirent leur devoir avec dévouement (contre le terrorisme) et non à l'esprit éclairé des hauts gradés. Le comble dans cette éruption intempestive de nos ex-généraux sur la scène politique est qu'ils se réclament du combat démocratique et de la défense des intérêts du pays. Ayant bénéficié de promotions "carriéristes", donc administratives et comme le veut l'usage souvent complaisantes, ils ont naturellement jouis de privilèges spéciaux accordés par la dictature militaire imposée à la majorité pendant 40 ans.
 Aucun d'eux n'a jamais contesté le système en vigueur durant la fraude politique de la suprématie de l'armée sur le reste de la population qui en majorité était reléguée au statut d'intouchable susceptible de servir de réservoir d'esclaves, tel dans le cadre du service nationale. Rappelons par exemple que lors d'un décès de "l'appelé", ses parents recevaient une indemnité ou "capital décès" limité à 40.000 DA, ceci en 1985 !
 Les ex-généraux font éruption sur la scène médiatique, via les média de Rothschild El-Watan et El-Khabar !
- Pourquoi cette soudaine explosion verbale calculée, prémédité et apparemment coordonnée ?
- La nostalgie de l'emprise militaire sur les affaires du pays ?
- Ou une réponse à un déclenchement mécanique à distance, sous forme d'ordres issus de commanditaires lointains supervisant les changements souhaités par l'ennemi éternel ?
Bouteflika a collaboré avec tous sans distinction dans le but de rallier les forces du pays en mesure de participer à la renaissance de l'état et à sa reconstruction.  Il a accordé le bénéfice du doute à ceux accusés de crime contre l'humanité et les a inclus parmi les bénéficiaires de la loi sur la réconciliation et la concorde, à un moment où les mêmes média (El Watan) répercutaient les insinuations étrangères de "qui tue qui ?"
Voila que ces mêmes média deviennent les porte paroles d'ex-généraux de circonstance qui dans un geste de désespoir sortent de leur réserve et se prosternent devant Kerry !
- À qui renouvellent-ils leur allégeance réelle, au pays ou à quelque nébuleuse occulte ? La mouvance régionaliste séparatiste ? Ou à la franc-maçonnerie administrant Saint-Cyr ?
Pendant que ces bras-cassés manigançaient dans les coulisses du Ministère de la défense les coups bas dont ils ont le secret, l'Algérie failli s'effondrer dans le couloir des nations défuntes. Arriva le rédempteur qui s'attela à la tache du redressement national sous tous ses volets, dont celui de la défense. Défense qu'il réorganisa pour lui accorder un statut professionnel et en finir avec l'amateurisme et le bricolage qui l'accablaient depuis l'indépendance. Tout en accompagnant les derniers dinosaures vers la retraite ou le tombeau et en évitant adroitement de les confronter, non par peur mais pour éviter les troubles internes contre productifs qui risquaient inutilement de dévier l'élan de la marche vers le changement radical et le progrès. Formation, restructuration, mises à la retraite des cadres improductifs, modernisation et renouvellement des matériels et armements, esquive des manœuvres étrangères menaçantes, etc, etc...
Les résultats allaient se confirmer sur les plans de la sécurité interne du pays et aux frontières, avec l’éradication des dernières poches du terrorisme, le contrôle des frontières et la lutte contre le crime organisé qui au paravent profitait de la perméabilité des 7000 kms frontaliers. La vision lointaine, et les mesures préventives entamées depuis 1999 par Bouteflika, allaient s'avérer décisives lorsqu'en 2011 débutèrent les "Printemps du désordre et de l'anarchie" dans les pays voisins donc à nos portes : Tunisie, Libye, Mali. Ajoutons à ces derniers le Maroc et sa traditionnelle animosité et on commencera alors à mieux apprécier la perspicacité du stratège et l'acuité de homme politique qui présidait aux destinés du pays ! Il n'est pas nécessaire d'élaborer plus succinctement les réalisations achevées dans ce domaine, tant elles sont
évidentes pour l'expert et le néophyte. L'attentat d'In- Amenas allait démontrer la justesse des orientations accumulées durant 14 ans et de la maitrise technique acquise par notre armée. Combien pitoyable est l'intervention de ces anciens généraux, mieux placés que quiconque pour apprécier la métamorphose de l'institution.  Apparaitre sur la scène politique pour dénigrer le travail accompli et souhaiter le retrait de l'architecte, responsable de son organisation et exécution.
Conclusion :
Les motifs de ce refus de témoigner équitablement sur une question aussi sensible peuvent être élucidés en énumérant différentes hypothèses, certaines pas flatteuses du tout !
- l'envie et la jalousie de personnages aigris qui non pas pu et pas su s'inscrire dans les pages glorieuses de l'Histoire et ont échoué dans les oubliettes du passé;
- ne sont pas et non jamais été des professionnels ayant occupé des responsabilités leur permettant de s'épanouir et d'acquérir un savoir englobant les connaissances sur la géostratégie, la défense préventive/dissuasive, la gestion des ressources humaines et matérielles, des relations internationales, ou simplement l'art de la guerre. En un mot, ces gens ont dilapidé leur existence, ont abusé le peuple naïf en prétendant assumer des responsabilités dont ils n'avaient pas les compétences;
- sont des ennemis dormants et non déclarés de la nation, qui ont été activés par quelque pouvoir occulte ou par des commanditaires qui tentent une dernière chance de déstabilisation en profitant de l'état de santé du Président  ! Une conclusion grave qui confirmerait les soupçons de nombreux patriotes qui qualifient la situation actuelle de très dangereuse au vue de l'intensification des agissements subversifs d'agents locaux sournoisement associés à toute une nébuleuse internationale qui s'acharne sur le pays !
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(*)Une petite note pour un médiocre opposant, le Suisse Ali Benouari :
Ancien ministre du gouvernement, il a été soumis à une analyse du blog (19.03.2014), et sans regret dénoncé pour sa totale irrecevabilité comme candidat à la présidence 2014. Ce personnage, comme démontré dans l'article, ne garde de son identité que le nom et l'état civil. Naturalisé suisse, adepte de la laïcité, soldat embrigadé dans l'armée des usuriers shylocks, il est impossible de flairer dans ce damné le moindre relent d'algérianité, d'Islam, ou de culture algérienne. "M'Tourné" comme on dirait communément ! Triste constat que celui-ci, mais le destin trace à chacun sa voie et gare à celui qui persiste à suivre les voies tortueuse de la défiance envers Allah et le mépris de sa noble religion. Sans vouloir tourner le couteau dans la plaie et verser dans un sadisme déguisé, ce caractère illustre la défaillance du système éducatif instauré sous le socialisme spécifique, produisant des déracinés confortables dans la culture européenne décadente mais totalement étrangers et distants de leurs racines. Plus inquiétant est le constat envers nos institutions aient pu approuver la nomination de ce genre d'organisme socialement modifié à des postes stratégiques relevant des finances de l'état ! La gabegie de la gestion gouvernementale n'est plus qu'évidente dans ce cas, carence assumée par le responsable de ce choix absurde, le premier ministre de l'époque le vénérable Sid-Ahmed Ghozali, modèle de sainteté de l'opposition le "padrino" de Sonatrach qu'il a géré comme épicerie familiale.