Translate

Affichage des articles dont le libellé est Ghazi hidouci. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Ghazi hidouci. Afficher tous les articles

3 juil. 2014

Algérie Des Années '90 : Le Fardeau De La Dette, L'Ingérence Des Banques Étrangères, Et Les Politiciens Complices !

Reporté maintes fois dans ce blog est le rôle suspect des politiciens impliqués dans la gestion économique et financière du pays qui durant la décennie 1988-98 sombra dans une crise sans précédent et frôla la catastrophe généralisée, politique, économique et sociale. La stratégie des banquiers talmudes pour le contrôle de la planète est axée essentiellement sur la dette et donc l'usure. Pour cela, les banques recrutent des agents locaux, principalement des politiciens qui influent sur les décisions et les orientations adoptées définissant les relations et les accords liant le pays aux banques juives, piliers de l'hégémonie des Illuminati.
Confirmation par un important acteur de la Banque Mondiale :
world-bankk-1050x637
(Lien)(traduction) «Karen Hudes est diplômée de la Yale Law School et elle a travaillé dans le département juridique de la Banque mondiale depuis plus de 20 ans. En fait, quand elle a été congédiée pour avoir dénoncé la corruption à l'intérieur de la Banque mondiale, elle occupait le poste de conseiller principal. Elle était dans une position unique pour voir exactement comment les élites mondiales gouverner le monde, et les informations qu'elle révèle maintenant au public sont absolument choquantes. Selon Hudes, l'élite utilise un noyau très serré d'institutions financières et de méga-entreprises pour dominer la planète. Le but est le contrôle. Ils veulent nous rendre tous esclaves de la dette, ils veulent que tous nos gouvernements soient asservis à la dette, et ils veulent que tous nos politiciens deviennent accro (addictes) des énormes contributions financières canalisées dans leurs campagnes. En plus l'élite possèdent également toutes les grandes sociétés et agences des médias, et ces médias de masse ne nous initient jamais dans le secret de la chose à savoir combien radicalement néfaste est la manière dont notre système fonctionne.»
Remarque : Tous les politiciens complices impliqués dans le complot des banquiers pour la mise en esclavage du pays et sa soumission totale au diktat de la dette et de l'usure sont toujours en activité ! Preuve que leurs agissements sont contraires aux intérêts nationaux, agissements qui selon l'optique adoptée peuvent être assimilés à de la haute trahison, est révélée par leur opposition virale à la politique d'indépendance économique et financière menée depuis 1998 et l’ère Bouteflika ! Aujourd'hui tous dans l'opposition et tous ménagés par des média aux intentions insondables qui ne rappellent jamais leurs délits et leurs méfaits. Que penser d'eux, sauf que leur impudeur excède de beaucoup le caractère de leurs maitres banquiers, la Chtuzpah !
Hypothèse complémentaire élucidant l'omerta qui entoure l'histoire véridique et les malversations de cette nébuleuse de la trahison, leur parfaite subordination aux directives instruites par la franc-maçonnerie internationale, l'organisation qui est une étape et un tremplin de leur ascension, promotion et maintien sur la scène politique.
Un petit jeu consiste en un recensement de ces politiciens véreux, vrais prédateurs et flibustiers qui ont pillé le pays, et qui sillonnent le terrain sous différent déguisement, hier sous celui du socialisme spécifique, aujourd'hui celui du libéralisme économique et qui brandissent le slogan de "lutte contre la corruption " ! Un brève survol de la scène politique suffit à les repérer, leur trait commun est celui attribué à.....Judas !
   

23 août 2011

Crise Économique Et Financière Mondiale. Les Manuels Scolaires Et Ceux Qui En Sont Instruits Sont Incompétents Et N'Offrent Aucuns Remèdes Parce Que Traitant D'Utopies Et Occultant La Réalité.

Introduction :
Dans un environnement économique international hostile la majorité des nations est confrontée à une multitude de problèmes insurmontables et se dirige vers une situation qui frôle l'apocalypse. Cet article n'a pas la prétention de présenter quelque savant traité d'économie, d'économie politique, ou de science financiaire, mais seulement de soulever des questions concrètes et relever des anomalies que tout néophyte moyennement intelligent est en mesure d'appréhender lorsque confronté au volume d'information que les média déversent continuellement sur les ondes, dans la presse, et sur le web. Entre rumeur et vérité, information et propagande il est souvent difficile de distinguer la nature du message transmis par les média, particulièrement lorsque l'intention qui motive sa source est d'influencer, de mystifier, de tromper, de gagner à sa cause, de manipuler, et d'orienter l'opinion. L'information véhicule trois types de données importantes destinées à l'opinion, l'un politique, le second économique et le troisième culturel, et souvent, une combinaison des trois. La diffusion des données possède son arsenal de techniques et d'outils pour moduler l'information en fonction de l'effet recherché et l'impact ciblé, durant un espace temps planifié, chaque étape exigeant un suivi professionnel adapté au besoin d'un agenda, s'étalant sur des années ou voir des décennies.  L'étudiant, le chercheur ou l'expert averti, soucieux de saisir l'aubaine offert par la libre circulation de l'information sur le web, devraient adopter l’approche méthodologique de révision des acquis éducationnels et culturels reçus des canaux officiels, de l'école et des média dominants.
La recherche sur le web de thèses multidisciplinaires "non-officielles", qualifiées péjorativement de "révisionnistes" ou "conspirationnistes", est révélatrice et documente un vaste champ de la connaissance authentique, non orientée.  Un document de base important pour débuter sur le thème de la perception des méthodes employées par le pouvoir occulte qui gère en aval et en amont les processus de contrôle de la pensée, des tendances sociales, de l'éducation, de l'information, des décisions politiques, et l'organisation des agents d'exécution des plans d'ingénierie sociale, est disponible Ici (traduction Fr) et Ici (version anglaise). Alternativement, une recherche dans Google de "Silent weapons for quiet wars" (Armes silencieuses pour des guerres tranquilles) est gratifiante.
Le contenu des débats qui se spécialisent dans l'analyse de la crise multi-sectorielle qui secoue les fondements de la société moderne en ce début du 3em millénaire, est majoritairement une transcription des théories qui souvent s'affrontent sans répit sur le plan intellectuel, des idées, et des avis, et qui s'avèrent stériles et impuissantes. Les discours des nombreux docteurs et professeurs reflètent les cursus de l'éducation qui leur ont été dispensés comme on charge les mules d'encombrants manuels et de travaux de chercheurs accumulés depuis des siècles, et ceci dans la confusion totale. Le "diviser pour régner" appliqué à ce domaine, celui de la pensée ajoute à l'égarement du gentile (non juif), victime du conditionnement exercé par les maitres de la fourberie, les suprématistes talmude qui œuvrent secrètement à l'instauration du Nouvel Ordre Mondial. Les causes et effets de la crise sont connus exclusivement par ses créateurs, les exécutants des "Protocoles des Sages de Sion". La source et l'origine de la crise sont dévoilées par les militants qui luttent contre le pouvoir tyrannique qui tient les reines des commandes des affaires mondiales, menant l'humanité vers le chaos, selon le plan énoncé dans les déclarations verbales et les écrits des protagonistes de ce complot satanique, le "Nouvel Ordre Mondial".
Les symptômes, économiques, sociaux, et politiques de ce phénomène sont depuis longtemps synthétisés dans la prophétie religieuse que toutes confessions dominantes  annoncent comme avènement de l'Ante-Christ ou Dajjal : guerres oppressives, injustice, famine, épidémies, déchéance morale, signes révélateurs de cette ère présageant malheur et affliction pour l'humanité. 
La cause et l'origine de l'adversité affectant l'humanité en ce 21em siècle, réside dans le détournement par une élite dominante raciste des pouvoirs de la majorité en vue de monopoliser toutes les décisions affectant son devenir, selon le plan dressé dans le document authentique des " Protocoles des Sages de Sion".  Les sources publiant un historique de ce manuel de la subversion juive sont innombrables, une d'entre elles retient l'attention, disponible au lien (Anglais).
L'auteur, G.B.Winrod écrit dans "The truth about the Protocols" (Lien):

«Sur les étagères du British Museum, à Londres, il y a un livre en langue russe, par Serge A. Nilus, appelé les Protocoles des Sages de Sion. Il contient vingt-quatre documents qui affirment révéler les rouages ​​d'un complot instigué par certains dirigeants juifs internationaux en vue d'asservir le monde à travers une dictature basée sur la puissance de l'or.» 
«Après la Bible, ce volume, traduit en plusieurs langues, est sans doute le livre le plus lu de l'Histoire. Le directeur de la bibliothèque m'a déclaré qu'il reçoit constamment des demandes à ce sujet de toutes les régions du monde. Son numéro de catalogue de la bibliothèque est C 37.C.31.»
«Nilus avait publié les Protocoles en 1905, bien qu'ils étaient déjà en sa possession depuis quatre ans . Il considérait comme un devoir patriotique et religieux de leurs donner la plus large diffusion possible. Depuis le début du siècle, jusqu'à cet instant, le complot divulgué dans ces documents a été accompli, étape par étape. En eux, nous constatons le le développement authentique de l'histoire économique et politique des nations. Si les protocoles étaient des faux, comme certains Juifs l'affirment, alors le paradoxe est que tout ce qu'ils énoncent est perceptible et se déroule devant nos yeux.»
Les "Protocoles" sont une déduction condensée du Talmud et des enseignements rabbinicaux, Edith Starr Miller (Lady  Queenborough, essayiste Anglaise ) écrit dans son "Occult Theocrasy " (Lien Ici ) :
«Les obligations et les règles du rite pour les masses juives sont contenues dans le Talmud et le Schulchan Aruk, mais les enseignements ésotériques pour les plus initiés se trouvent dans la Cabbale. » 
Ces précisions servent à démontrer, comme illustration des objectifs assignés aux "Protocoles", l'assertion que les événements se déroulant devant nos yeux concernant la crise financière et économique ne sont en aucune façon le fruit d'activités ordinaires de différents acteurs présents sur les marchés, régis par les lois et règles du libre échange des biens et services, ou de la compétitivité des facteurs de production présents dans les économies locales, régionales ou globales (internationales), ou autre  "interaction de l'offre et de la demande".  Les théories et ceux qui excellent dans leur utilisation,  pour "expliquer", "remédier", "guérir",  "résoudre", "réglementer", "surmonter", ou "parer aux dis-fonctionnements" de la crise se leurrent de concepts utopiques, d'illusions et de chimères, pour la simple raison que les modèles qu'ils exploitent sont détachés de la réalité.
«Là se trouvent les rites mystérieux des évocations, les indications et les clés de pratiques pour la conjuration des forces surnaturelles, la science des nombres, l'astrologie, etc...»
«L'application pratique des connaissances Cabalistes se manifeste dans l'usage qu'en ont faites, à travers les âges, les Juifs afin de gagner en influence à la fois dans les hautes sphères de la société des "Gentiles" et sur les masses. Souverains et papes, à la fois, avaient habituellement un ou plusieurs Juifs parmi leurs astrologues et leurs conseillers, et ils ont souvent donné contrôle aux Juifs, sur leur vie même, en les employant en tant que médecins. Le pouvoir politique a donc été acquis par les Juifs dans presque tous les pays des gentiles doublé de la puissance financière, puisque les tribunaux juifs et les banquiers
manipulaient les fonds publics et les taxes. »
«Avec son Conseil suprême, le B'nai B'rith, la tête dirigeante de la secte, et ses membres infiltrés parmi toutes les nations, est devenue le pouvoir dirigeant et souverain dans les conseils de toutes les nations et régie leurs programmes politiques, économiques, religieux et éducatifs.»
De ce mélange occulte d'ésotérisme et de prédation sociale "des armes silencieuses", la réalité qui apparait est tout autre que celle que nos experts financiers décrivent dans leur majestueux pédantesques ouvrages et analyses savantes. Comment d'une perception fictive, subjective et erronée, de la réalité, la multitude de docteurs et professeurs émérites (sic) peut-elle s'aventurer à dresser un diagnostique réel des aléas du monde actuel, voir proposer des remèdes au malaise dont souffre l'humanité ? Le mal n'étant pas correctement perçu, le diagnostique s'égare dans des "hypothèses", des "peut être", des "estimations", des "spéculations", et les solutions proposées aggravent la crise, ne la dissipent pas !
Le constat de la faillite et de l'aliénation de cette pompeuse intelligentsia est amplifié sous l'effet conjugué de la complicité de certains intellectuels corrompus et de ceux dont l'allégeance au NOM est scellée par le sermon maçonnique, le contrat moral liant nos "chers frères" à la maison-mère du mercenariat juif !    
Les "Protocoles" sans détour ni bagatelle :
«Nous allons créer par tous les moyens détournés possibles par nous et avec l'aide de l'or, qui est entièrement entre nos mains, une crise économique universelle par laquelle nous jetterons dans les rues, simultanément dans tous les pays de l'Europe, des hordes entières de travailleurs. Ces foules vont se précipiter joyeusement et verser le sang de ceux qui, dans la simplicité de leur ignorance, ont été jalousés dès leur berceau, et dont les biens ils seront alors en mesure de saisir comme butin ».
«Le notre (sang) ils ne toucheront pas, parce que le moment de l'attaque sera connu de nous seuls, et nous prendrons des mesures pour le protéger.» 
Le comble de l'ironie et du sarcasme dont se désaltèrent les instigateurs du "complot", les maudits "enfants de Satan",
doit découler du paradoxe démontré par le comportement révérenciel et les convictions respectueuses de la gente Goy (gentile) envers les armes brandies par leur ennemi, qui les convie à l'auto-flagellation et l'auto-destruction.  
Explication : L'arme absolue détenue par l'autorité suprême talmude, les banquiers, est l'usure. Après l'invention de la monnaie de singe, le numéraire en papier, que les planches à billets aux mains des Shylock, produisent inlassablement dans l'antre du diable (les banques nationales centrales, toutes privées !) la fraude monumentale prodiguée par les Rothschild fut celle du prêt avec intérêt. Le catalyseur de l'endettement des individus et des nations menant à l'asservissement et à l'esclavage, via l'intérêt, est l'astuce diabolique inventée par les Shylock, aujourd'hui banalisée, étudiée, utilisée, canonisée, et pour beaucoup, érigée en divinité omnipotente. Tous les économistes, financiers, politiciens l'arborent fatalement dans leurs discours comme un outil de gestion incontournable, au lieu de le dénoncer comme le venin qui détruit sociétés et individus. D'une perception insensée et illusoire de l'affliction usurière, il est dérisoire de tenter de guérir le malade, l'économie et la finance mondiale, du fléau de la pauvreté, de la misère, de la faillite et du désespoir.
La loi talmude interdisant au juif de vulgariser la connaissance ou d'enseigner un métier aux goyim, est la source du développement d'un corps de savoir utopique stérile destiné à entretenir la myopie et le manque de discernement parmi les "serfs" goyim et leurs élites bien pensantes, perroquets intellectuels qui réverbèrent les idées fallacieuses répandues par l’appareil de propagande des média dominants. Toutes les théories économiques en "isme", Marxisme, communisme, capitalisme, libéralisme, etc..., sont comme des os lancés à la féroce concurrence du chenil dont les bêtes s'entredéchirent violemment, pendant que les maitres de l'intrigue se distraient par les jeux de manipulation des marchés financiers en actionnant  les leviers des taux d'intérêt, des cours, de l'information économique, du délit d'initié, du déclenchement de conflits "qui rapportent", des rumeurs (média) qui confondent l'observateur, etc...Non contents de l'extorsion massive de la richesse des Goyim grâce à l'usure, les banquiers gèrent les casinos financiers (la bourse) où les dés sont pipés, et les actionnaires (les joueurs) délestés de leurs avoirs. Situation sur-réelle, amplifiées par la complicité tacite des experts qui fondent leurs recommandations sur le précepte de l'adoption de l'usure comme canon de la finance et dans lequel ils tentent d’exceller en l'introduisant dans leurs analyses et les leçons qu'ils dispensent aux décideurs politiques. 
Comme illustration de cet exercice de déroutement par des imposteurs affublées de titres universitaires ou professionnels délusoires, citant la campagne médiatique entourant la question de la gestion optimale des réserves en devises détenues par l'Algérie et qui est le juste sujet de préoccupations, dans le contexte actuel de crise financière internationale, airées dans la querelle des "bons de trésor US".  Jamais un tel débat n'aura occupé autant de commentateurs et rempli autant d'espace médiatique, même dans les plus profanes des chroniques. Mêmes les blogs-conciergeries habituellement versés dans la tchatche se sont mis de la partie.   
Dans cette mêlée de conseilleurs, non- payeurs, accourus de tous les horizons imaginables pour instruire gracieusement le gouvernement des décisions à prendre, un personnage se distingue par l'agitation médiatique qui  lui est accordée et la fréquence de ses déclarations publiques : Abderrahmane Hadj Nacer, ex-Directeur de la Banque Nationale d'Algérie. Trait frappant du personnage : l'effronterie de l'émissaire de l'abomination et son ignorance de la gravité de la transgression des lois divines condamnant l'usurerie. 
"Ceux qui se nourrissent de l'usure...."
El Watan, le valet de chambre des Rothschild, se gargarise des mérites de cet usurier au service des shylock, et vante ses œuvres littéraires qu'il range dans les traités de finance, d'économie et de politique. Le quotidien lui réserve une couverture extensive, répartie sur un millier d'articles, tous de tendance alarmiste. Ce qui doit nécessairement éveiller notre suspicion au vu du travail traditionnel de "harki de la presse", ou "traitre parmi nous". L'utilisation du terme "martingale" par l'auteur est révélatrice de l'accoutumance du personnage au système des paris des casinos (bourse et usure): en jeux de hasard «Coup consistant à doubler la mise qu'on a perdue au coup précédent. Jouer la martingale à la roulette.» Un lapsus de langage, ou un "chassez le naturel, il revient au galop" ?
Un bref aperçu de la biographie de notre banquier d'affaire nous éclairera plus amplement sur le rôle de ce transfuge de la BNA et il suffit de remarquer qu'il fait partie du clan des réformateurs mené par M.Hamrouche : A.Benbitour, Ghazi Hidouci, A.Brahimi, pour confirmer la double allégeance de ces aventuriers au service du mercenariat de la finance internationale Kosher ! Après le coup de poker réussi des FMI-Banque Mondiale durant la gestion de la faillite due à l'endettement des années '90, qui a vu l'Algérie être livrée à ses créanciers et soumise aux conditions drastiques des shylock qui exaspérèrent la crise politique en tentant de basculer le pays vers le chaos et sa destruction en tant qu'état souverain, tous les complices de la mutilation de notre indépendance nationale ont été gratifiés, et généreusement récompensés par des nominations à des postes de responsabilité au sein d'organismes contrôlés par l'oligarchie talmude rothschildienne ! Voir biographie de Hadj Nacer (Lien); celle de Benbitour a déjà été exposée précédemment (Lien article); Ghazi Hidouci change de camp et rejoint la BM; Brahimi est à Londres à la London School of Economics, le couvoir des utopies talmudes. Le comble est l'effronterie qui caractérise ces chevaux de Troie de la finance Kosher, ils s'érigent en donneurs de leçons et jurent par tous les saints leur dévouement à l'Algérie et à son peuple. Le verbiage de notre banquier d'affaire--«gouverneur de la Banque centrale d’Algérie, conseiller pour le monde musulman à la Banque Lazard Frères et Compagnie (*), dirigeant auprès d’autres entités comme la Société marseillaise de crédit ou Natexis-banque populaire, à Paris. Initiateur de la loi sur la monnaie et le crédit d’avril 1990 (la porte de la cité ouverte à la prédation des banques étrangères), il est à l’origine de la création d’établissements financiers privés à Alger. Il dirige aujourd’hui, un holding à Paris (HBC), et est partenaire fondateur d’une banque d’affaires à Tunis (IM Banque). Abderrahmane Hadj-Nacer est par ailleurs membre de groupes de réflexion internationaux. Ainsi, il est président du comité de parrainage politique et dirige, avec l’économiste Christian de Boissieu, le conseil scientifique de l’Ipemed (Institut de prospective économique du monde méditerranéen)», est édifiant dans la mesure où sa vision de l'Algérie est prophétique, pénétrant jusqu'aux moindres coulisses de la période Rustimide durant laquelle l'Algérie était Ibadite (Sic et qu'Allah nous protège d'une telle calamité, lorsqu'on sait le nombre nul = zéro des chouhadas mozabites morts pour la patrie !), mais il omet de nous révéler les anicroches de l'usure destructrice des nations. "Ceux qui consomment l'usure, ne sont-ils pas sanctionnés d'une déclaration de guerre d'Allah Qui les maudit ? " 
Une maxime résume l'analyse de cette opération de subversion médiatique qui cible l'opinion en la couvrant de mensonges et d'entourloupettes : "science sans conscience n'est que ruine de l'âme". 
Mr le Docteur es sciences financières, soignez vous de votre cécité morale et religieuse, sauvez votre âme pendant qu'il est peut être encore temps, les portes du repentir restent ouvertes ! Quand à nous, nous prions Allah Qu'Il nous garde de l'influence de ces rabatteurs de Satan qui nous convient au feu de l'Enfer.  
________________________________
(*) Nature de la compromission de notre banquier :
Note-wikipedia: « La banque a été fondée aux États-Unis en 1876 par trois banquiers juifs ashkénazes émigrés aux États-Unis depuis leur ville natale de Phalsbourg en Lorraine : Alexandre, Elie et Simon Lazard, bientôt associés à leur beau-frère Alexandre Weill.»
«La banque d'affaires a clos l'année 2007 sur un résultat net record de 155 millions de dollars, en hausse de 67 % par rapport à 2006. La banque a récemment recruté, comme directeur exécutif senior de sa division banque d'investissement, l'ancien directeur général du Fonds Monétaire International, Rodrigo Rato.»